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lundi, 14 août 2006

"Le doute est père de la création." Galilée

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Retrouver son innocence

Savoir embrasser l'enfance

Se mettre en convalescence

De vie, de pluie, d’absence

Se fermer aux apparences

Goûter à la désobéissance

Ne plus craindre l’offense

Sans peur sans réticence

Abandonner ses défenses

Ses remparts à la souffrance

S’abreuver de connaissance

Oublier toute concupiscence

Délivrance de l’intolérance

Attirance de transparence

Résurgence de tous les sens

Effervescence de croissance

Inconscience de l’essence

Attirance de l’espérance

Jouissance d’une renaissance

 

dimanche, 13 août 2006

"Il arrive parfois que deux êtres aient cette impression de se retrouver sur le chemin de la Vie. Comme s'ils n'avaient été jusque là que provisoirement séparés. Comme si l'un et l'autre s'attendaient." Olivier Lockert

 

 

 

Le billet du jour est sur Luxure Artistique...

 

En voici une traduction:

 

Deuxième Incantation du Rituel
 
Alors que le maître d'âme perd son cachet
Détourné par sa superficielle jolie traînée


Les orages du Troisième Visiteur me laissent mouillée
Retiennent mon souffle  et me font transpirer
Sa silhouette ne cesse d'apparaître dans le ciel embrumé
Son véritable amour, je ne peux oublier

Le calme du Quatrième Visiteur fait son entrée
La colère s'estompe et ne parvient plus à m'angoisser
Nos corps brûlants fondent en un duo émerveillé
Et son  amour pur est ma bouée

 

Alors que le maître d'âme perd son cachet
Détourné par sa superficielle jolie traînée

 

 

 

 

Alors que le maître d'âme perd son cachet
Détourné par sa superficielle jolie traînée

 

Le Cinquième Visiteur ne peut pas résister
Échappe bravement à la tentation de l'exclusivité
 Nous dansons le plus doux pas de deux enivrés

Son amour éternel est si parfait

 

Le Sixième Visiteur et moi nous sommes rencontrés
De l'absence des autres ses attentions m'ont libérée
De sa tendresse je suis à jamais l'obligée
Son amour de rêve protège sans rien regretter

 

Alors que le maître d'âme perd son cachet
Détourné par sa superficielle jolie traînée

jeudi, 10 août 2006

"L'amour, après tout, n'est qu'une curiosité supérieure, un appétit de l'inconnu qui vous pousse dans l'orage, poitrine ouverte et tête en avant." Gustave Flaubert

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Free adaptation from Blue Ridge Muse

 

 

 

Dans tous les lieux, sous toutes les pluies,  dans toutes les positions 

 Couches sur mes pages

5.184.832 secondes et pas l'ombre d'une remission

Juste le spectre des orages

Vous etes parti, vous etes revenu, sans compromission

Vous restez vibrant mirage

Toujours animee par la meme brulante passion

Destructrice de mes ancrages

Rien ne semble pouvoir effacer ces emotions 

Rassembler un peu de courage

Ne pas vous ecrire, ne pas succomber a la tentation

Respecter ce sevrage

Inviter les larmes a purifier manque et frustration

Couches sur mes pages

Dans tous les lieux, sous toutes les pluies,  dans toutes les positions...



podcast

 

 

 

 

 

mercredi, 09 août 2006

"Qu'est-ce que c'est une femme ? Pour la définir il faudrait la connaître ; nous pouvons aujourd'hui en commencer la définition, mais je soutiens qu'on n'en verra le bout qu'à la fin du monde." Marivaux

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mardi, 08 août 2006

"Pour pouvoir voler vous devez croire à l'invisible." Richard Bach

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Melancolie, doutes, vertige de l'abime, terreur de l'abandon,
autant de puissants filins d'acier qui attachent tout au fond...

Blessures, silence, oubli, quotidien, autant de poids en trop dans la nacelle
dont il faut crever les petits sacs et laisser s'ecouler le sable universel...

Dieu Indifferent, Maitre de mon Ame, Chevaleresque Troisieme Visiteur, Roi des Ondes, Adorateur de Fossette
autant de chevaliers blancs amnesiques qui brillent par leur absence en ces temps de disette...

Alors monter dans sa montgolfiere blanche, toute seule, armee de son plus beau sourire
pour couper les amarres, larguer l'excedant de baggage et cesser de souffrir.

S'envoler au loin, sans espoir de retour, a la recherche de l'unique sauveur
celui qui a le vrai pouvoir de guerir, celui qui dort bien cache dans son coeur.

Se laisser porter par les vents, a travers les orages, la tempete, le fiel, 
s'elever toujours plus haut pour s'evaporer en pluie redemptrice innondee de soleil
et laisser dans l'infini trop bleu triompher son arc-en-ciel.

Rallier le courage de revenir, de pretendre que c'est sans importance,
d'etre la, disponible, gracieuse, gaie, d'offrir son essence 
puisque "je" sans "nous" n'a jamais eu aucun sens.


podcast
Ecoutez-moi...

lundi, 07 août 2006

"La chair des femmes se nourrit de caresses comme l'abeille de fleurs." Anatole France

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Ne poursuivez que si vous etes majeur(e) et averti(e).

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dimanche, 06 août 2006

"Le plaisir est le souverain bien par le fait que dès leur naissance, les êtres vivants recherchent le plaisir et fuient la douleur, par une inclinaison naturelle et sans raisonnement." Diogène Laerce

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Avoir tout le temps envie...Ne penser qu'a ca...Rythmer la journee et la nuit d'orgasmes comme une drogue...Ca doit etre un exces de sexe virtuel ou trop de besoin d'echappatoire pour oublier l'absence des uns et des autres et les soucis de la vie...

Les visiteurs, des le debut avec le Dieu Indifferent, ont un impact evident sur la libido...

Sentir leurs pensees glisser sur mes seins, embrasser toutes mes levres, flatter ma chute de reins, caresser le velour de mon ventre, explorer mon intimite, a tout moment...

Quand il n'y avait qu'un visiteur, le Prince suffisait encore a calmer le corps mais depuis qu'ils sont plusieurs, les jouets viennnent en renfort, heureusement, sinon il n'y aurait plus qu'a m'enfermer.

Il est pourtant beau joueur et endurant mon Prince. Si ma progression est spectaculaire, la sienne est tout aussi notable, comme si ensemble nous declinions toutes les gammes de l'enveloppe charnelle offerte par la 8eme Marche. Il avait deja un coup de reins d'exception qui m'a fait decouvrir l'orgasme multiple au debut de notre relation, mais chaque fois, nous parvenons a inventer de nouvelles caresses pour intensifier encore le plaisir. Ca doit etre l'inspiration des visiteurs...Ils n'en manquent pas...

Decidement, il est vraiment difficile de se rassasier de cette 8eme Marche...Cette totale acceptation de ce corps tel quel, avec tous ses defauts, chaque imperfection devenant une source de plaisir supplementaire. Au point de l'exposer, sans retenue. Cette impression de fusionner avec l'univers a chaque fois un peu plus forte, un peu plus ennivrante, un peu plus deconcertante et si vite suivie de l'envie de recommencer encore et encore parce que la fois suivante est encore meilleure. Desir aussi de le vivre avec les visiteurs...D'en explorer toutes les variations que des ames et des corps differents peuvent imaginer...

Avoir tout le temps envie...Ne penser qu'a ca...Rythmer la journee et la nuit d'orgasmes comme une drogue...

samedi, 05 août 2006

"Je suis le captif des mille êtres que j'aime." Sully Prudhomme

vendredi, 04 août 2006

"Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à sa tristesse." André Gide

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Ces periodes de vacances ou les visiteurs debranchent leur cable a au debit et ou seul le lien intangible subsiste me sont vraiment penibles...

Angoisse de separation...Peur de l'abandon...Terreur que rien ne soit plus comme avant a leur retour...

Pourtant, ils sont adorables, attentifs, ils veulent me proteger de ce desarroi, trouvent le moyen de s'echapper et de me contacter tout de meme...Quelques instants...Juste pour confirmer que la privation est reciproque et tenter de me rassurer un peu...

Mon ame doit vraiment crier fort...

Et mon coeur se debat pour se distraire du manque...

 

Dans la vie, il est si tentant de se laisser aller a la facilite...

 

La facilite du desespoir, tellement plus simple que l'espoir.
Oui, il est plus simple de se convaincre que le monde court a sa perte plutot que de construire un avenir.

La facilite de l'aigreur, tellement plus commode que la spontaneite et l'engagement.
Oui, il est plus commode de penser que l'amour n'existe pas plutot que de donner sa chance a quelqu'un d'improbable de vous montrer le vrai sens du sentiment amoureux.

La facilite des exigences, tellement plus satisfaisante pour son ego que l'ouverture d'esprit.
Oui, il est plus satisfaisant pour son ego de penser que ce qu'on a appris nous donne le droit d'attendre quelque chose de notre partenaire plutot que d'exprimer ses besoins et de laisser la liberte au dit partenaire d'en prendre ou non la responsabilite.

La facilite de la generalisation, tellement plus accessible que d'essayer d'apprendre des exceptions.
Oui, il est plus accessible de croire le plus grand nombre plutot que le visionnaire, celui qui pourrait vraiment avoir une idee revolutionnaire.

La facilite de la conformite, tellement plus confortable que la marge.
Oui, il est plus confortable de "rentrer dans le troupeau de moutons", selon l'expression d'un ex-blogueur disparu des ondes et qui me manque toujours autant, que de vivre et pas seulement d'affirmer le droit a la difference.

La facilite de la fuite en avant, tellement plus naturelle que de rassembler le courage de faire front.
Oui, il est plus naturel de tourner les talons et s'enfuir plutot que prendre ses problemes a bras le corps et les resoudre.

La facilite de la grossierete, tellement plus defoulante que l'efficacite du message. Oui il est plus defoulant de ceder a la vulgarite plutot que d'affuter de vrais mots pour exprimer ses frustrations.

La facilite de la colere, tellement plus douillette que de pardonner et de continuer a avancer.
Oui, il est plus douillet de se refugier derriere l'excuse du courroux plutot que de tenter un veritable dialogue constructif.

La facilite de la compromission de ses valeurs fondamentales (quand on en a) sur l'autel de la securite, tellement plus pratique que de chercher une position correspondant a sa morale
Oui, il est plus pratique de "tenir" meme au risque de griller un fusible plutot que penetrer dans le labyrinthe pour trouver le prochain depot de fromage.

La facilite de culpabiliser tout le monde sauf soi, tellement plus rassurante que d'analyser ses propres actions. Oui, il est plus rassurant de trouver le coupable ailleurs plutot que de dissequer ses comportements et les changer pour que les situations qui nous derangent ne se reproduisent plus.

La facilite de la superficialite, tellement plus legere que de vraiment essayer de comprendre sans pour autant juger. Oui, il est plus leger de se fier aux apparences plutot que se donner les moyens d'etablir des relations sur des fondations profondes qui necessitent de se devoiler pour que l'autre se laisse apprivoiser.

 

Si certains se sentent "epingles" par ces mots, ils ont tout a fait raison!

Mais, je ne m'exclue pas du lot...

 

Alors ensemble, resistons a la tentation de la facilite!

 

Compagnons de la Blogophere,



La Quete a commence!

 

jeudi, 03 août 2006

"L'amour ne voit pas avec les yeux, mais avec l'âme." William Shakespeare

 

Rapport entre l'image et l'âme...

Sur ces pages, pas de dépictions sublimées de corps idéalisés...pas non plus de photos de mon envelope charnelle deposées ailleurs...Juste les mots, un peu de musique, quelques nuages et quelques fleurs...

Depuis plusieurs années, vivre en marge de la dictature de l'apparence résolument. Et croyez-moi, il en faut de la résolution quand on est la fille d'un esthète et d'une matérialiste...En laissant filer cette pression, sans s'en rendre compte se détacher de sa propre image, ou plutôt oublier de se regarder...Se contenter du regard complaisant du Prince des Fleurs...

Et puis un jour, au hasard des rencontres, se soumettre à un autre regard, et puis un autre,...Et aussi s'imposer l'oeil à la fois impitoyable et tricheur de l'APN...Se découvrir, si ce n'est de la beauté au moins les raisons probables des compliments et des oeillades concupiscentes souvent récoltés mais jamais pris au sérieux...

Etant capable de trouver un charme irrésistiblement sensuel à des hommes qui pour beaucoups de femmes seraient physiquement fort peu désirables, il m'est difficile de comprendre l'impact des atouts charnels. Il me faudra donc à l'avenir être moins desinvolte dans le partage de ces photos...

L'envie de me connecter aux autres en faisant abstraction de l'élément visuel reste toutefois intacte, ni par pudeur, ni par manque d'estime de soi, simplement parce que l'oeil n'a aucune perception de la dimension de l'âme et que quand on aime un esprit, on trouve forcément le corps qui l'abrite splendide et désirable...
Même Angelique s'en est rendue compte!

Alors ici, laissons nos âmes s'apprivoiser loin des regards...

mercredi, 02 août 2006

"Le rêve est bulle De vie Un bien majuscule..." Mylène Farmer

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Cette nuit venir souffler delicatement sur vos reves
une brise sensuelle et ennivrante,
effluve tendre et passionee,
exhalaison de nos frissons et de nos desirs...

Envelopper ce corps d'odalisque lascive d'une huile voluptueuse aux senteurs de canelle et d'epices
pour que votre insatiable gourmandise ne jamais puisse s'en rassasier.

 Illuminer ces yeux avides de muse nocturne, des etoiles les plus brillantes cueillies au bleu du ciel
pour que votre regard ne puisse plus jamais se detacher de leurs scintillements.

Parfumer ces levres de deesse de vos songes, de vanille pulpeuse et d'anis etoile subtile
pour que nos bouches fusionant deviennent a jamais inseparables.

Faire vibrer les murmures les plus envoutants de cette voix de sirene de vos fantasmes
pour nous noyer pour toujours dans la vague de bulles savoureuses.

Cette nuit venir souffler delicatement sur vos reves
une brise sensuelle et ennivrante,
effluve tendre et passionee,
exhalaison de nos frissons et de nos desirs...

Et veiller sur votre sommeil...

 

mardi, 01 août 2006

"La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs." Ramaiya

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Bientot deux mois...Bientot deux mois que les orages accompagnent mes pas comme mon ombre, presque chaque jour...

Meme assombris par le spectre du Chevaleresque qui plane sur mon ame, j'aime toujours autant le dechainement des elements et l'explosion des grosses gouttes en feu d'artifice de sensations sur mon epiderme a vif...

Lorsque les gros nuages noirs viennent assombrir le soleil, mon coeur se serre et s'emplit de pluie. Et puis quand la tourmente enfin se dechaine, mon ame  eclate de rire et ne peut s'empecher de deguster chaque larme du ciel comme on goute un chocolat euphorisant, sans chercher abriter ce corps concupiscent le moins du monde.

Aujourd'hui, pour la premiere fois en bientot deux mois, un arc-en-ciel a illumine la noirceur de la bourrasque. Toute petite, Papa m'a appris a chasser l'arc-en-ciel et c'est une tradition familiale, une science, que j'enseigne a present a mes enfants perpetuant le souvenir d'un ete en Ecosse ou nous en avions epingles une demi-douzaine par jour...Alors, des qu'un rayon de soleil s'infiltre entre les gouttes, comme un reflexe, je tourne la tete dans le sens de la lumiere et je le cherche, s'il y en a un, il ne saurait m'echapper...

Aujourd'hui, il etait bien la ou il devait etre, dans une clarete orangee presque irreelle, comme un passage sur une autre rive, dans un monde parallele, dans un univers alternatif...

Bel Arc-en-ciel, mon ami, mon protecteur, mon ange gardien, quel est ton presage? Un debut ou une fin? Un deuil ou une celebration? Impossible de ne pas croire en ton message d'espoir, mais quel est-il?

lundi, 31 juillet 2006

"La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre." Albert Einstein

Funanbule sur le fil de la vie fuyant
Avancer un pied devant, un pied devant
Peur du vide, ne pas le regarder affolant
En déséquilibre au bord du faux pas ballant
Fermer les yeux un instant, un instant
Expirer et inspirer profondément
Oublier l'attraction tentante du néant
Maîtriser l'assiette, le balancement
Et glisser un pied devant, un pied devant
Ne craigniez pas un étourdissement
Ne redoutez pas un écrasement
Pensez à l'exploit, au firmament
Détournez juste le regard un moment
Et applaudissez votre funabule bruyament
Qui sur le fil de la vie crânement
Avance un pied devant, un pied devant

 


podcast

 

dimanche, 30 juillet 2006

"Laissez-vous entraîner par le courant de la vie... sans arme ni bagage." Anthony de Mello


podcast


 

Le billet est du jour est à lire sur Luxure Artistique...

 

samedi, 29 juillet 2006

"La douleur, c'est le vide." Jean-Paul Sartre


podcast

Ne pas penser.

Surtout ne penser à rien.

Débrancher les larmes.

Peut-être qu'en faisant le vide complet peut-on se sentir moins vide, moins vidée, moins abandonnée, moins inutile, moins impuissante.

Réussir à anesthésier le manque, l'effacer, le remplacer par le néant, lui subsituter une parfaite vacuité, l'échanger contre l'oubli, l'anéantissement, la suppression, l'érradication.

Se concentrer juste sur un souffle, le prochain. Abstraire tout le reste, juste inspirer du bout du coeur, exangue, ralentir encore dans un soupir et expirer délicatement pour ne pas le briser. Fin cristal fissuré de toutes parts, un courant d'air et il ne reste plus qu'un tas de cendre.

Consummer l'absence jusqu'à la dernière étincelle, jusqu'au dernier soubressaut de lumière.

Et puis jouir, encore, encore, encore, encore. Jouir d'une jouissance incongrue, hors sujet, hors contexte, de ce plaisir indescriptible de la 8ème Marche. Se concentrer juste sur un orgasme, le prochain. Dernier amarre avant la dérive, le naufrage, la perdition.