lundi, 07 mars 2016
Passage à vie
Une brume de tristesse caresse le sourire. Une lame de soleil pour chaque larme, le creux de l'infini en réfraction de l'âme. Un demi siècle d'instants, la voix égrainée dans le vent et ses pétales de mots tamisés sombrent dans les encens. Respirer la mort de Glass, l'abandon dans la voilure et le baiser inconditionnel pur.
Un mot d'amour?
À la mémoire de gmc...
11:25 Publié dans Amour, Deuils, intégrale volume 6, poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
L'abandon dans la voilure et se laisser porter.
Écrit par : Gondolfo | jeudi, 17 mars 2016
Emporter aussi parfois.
Merci Gondolfo.
Écrit par : @ude | jeudi, 17 mars 2016
Why does someone have to die...mes doigts sur le piano, communion de tes pensées Glassées...des notes touchées noires... et blanche partition...
Écrit par : mélanite | jeudi, 24 mars 2016
un "chouette" souvenir ?
(http://gmc.blogspirit.com/archive/2008/02/23/6229d63a12d6682b647bfa5328ce50a5.html#comments)
je te sentais quelque peu médusée...
Si tu savais ma tristesse...
je reviens très vite...
pardon pour cette longue.............absence...
Reçois mes pensées en formes de Lys et de printemps... Le ciel est toujours indigo...
Pessah
Écrit par : Pessah | vendredi, 27 mai 2016
Merci de ce joli souvenir Pessah, la tristesse s'incruste en effet...
Écrit par : @ude | vendredi, 27 mai 2016
Chose promise...
Je me souciais de tes mots lierre,
De ce que tes yeux neufs peignaient aujourd'hui...
L'orphelin comme hier tête encore à ton sein,
Et d'où qu'il s'en revienne le volatile reconnait son œuf..
Le petit supl'aimant d'âme soeur
Hypocampe de nouveau près du nid...
Alors...
Petit Bise'Art
(enfin c'est juste au cazou tu n'saurais plus...)
Tu n'auras qu'à jouer de l'Epine'Art
à ce gentil jeu là vise un peu les Pop'Eyes
Ultra-violets bleus jaunes et verts olive
Oh -EmerAude- Pardon ! Couleur qui vaut la tentative...
T'as besoin d'Inspirine ?
Sinon je ne sais pas -balance tout -ose- même le coup de l'Aimantonnoir
Tu sais c'est comme un shoot au poisson Lune de retour du royaume d'Adès
Goutte à l'Inné-Puisable, puis relève la tête -songe- et regarde la rive
Moi j'irai bien tremper trois brindilles en eaux vives...
à moins qu'un peu de Poèsine ?
Mais revenons de non -ah oui- tu connais l'Epaul'Art
Les Poutrelles sont toujours à l'heure
pour un foot à la Bob Marl'ace
Si tu y tiens prends le temps
révise un peu les perspectives
Planque le Double Tranchant dans l'ogive...
Un zeste de Post-Script'homine ?
Sinon que sais-je ? Regarde au loin derrière les piles
une seconde le Beau Saint Bern'Art
Là-Haut tout là où aucun des Bas ne blesse
Transforme ici tes invectives
en vagues d'Amour successives...
Peut-être un peu de Tsunamine ,
Au pire demande à ton vieil ami Balloch'Art
Raconte avec tes mots tes trouvailles Gentille Déesse
Il ne faut pas laisser je crois tous ces feux sous le givre
Je prie pour que ton pas résonne toujours sur quai
comme sur le pont... du Bateau Ivre
Nan mais dis donc, t'en voudrais pas dès fois à mon Astraline ?
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Pas'Câlins du soir Aude
Écrit par : Pessah | mercredi, 08 juin 2016
Si tu savais Aude...
Si tu savais cinq heures du mat
Les frisons Ranska-Cin-Cinnat...
En fait tu savais, tu n'as rien dis...
Cette pudeur, mon incompris...
Un mot d'Amour, j'ai rien compris...
Comment excuser l'impardonnable ?
Comme si surfer l'indomptable
Se faisait sans bruit...
GMC m'avait confié ceci s'essayant à l'Aaèrographe
nous étions alors assis pierre tattants de l'épitaphe
Pour tel tu leur diras ceci mon frère, promets-le moi
toi seul le sais, personne ne le saura... Mais
"Ci Gilles............ Str' Hiku... "
Ça a de la gueule, nan... ?
Un mot d'amour, je ne l’écrirai pas là
Cela ne regarde que Lui, Toi et Moi...
Ce que tu sais, ne regarde que le Chât
Tu sais bien qu'il a un œil qu'on n'a pas...
Mais si tu le désires, je te dirais ce que tu sais que tu ignores,
Je t'écrirai pile glace à la vanille
Face, tu m'as conquit j't'adores ()
Tranche, tu m'estampilles... Amor...
Au grand jour, décalage horaire
Je mycorise depuis des millenaires
De tes mains plongées dans la Terre
Je ressent la douceur, la colère, les effets... Mère...
Pas de distance finalement
pas le temps,
Pas d'ailleurs modérant...
Passage innérant...
Encore un espace...
Je passe...
La corde se mesure en brasses
Mais dis-moi Kestami comme godasses ?
allo ?
Écrit par : P.S.H. | samedi, 30 juillet 2016
https://www.youtube.com/watch?v=DlgAzkABEXY
Écrit par : a | mercredi, 03 août 2016
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