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mardi, 18 juillet 2006

"Pour être capable de faire le don de soi, il faut avoir pris possession de soi dans cette solitude douloureuse hors de laquelle rien n'est à nous et nous n'avons rien à donner." Louis Lavelle

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podcast

 

Ce matin, venez voyager avec moi sous la douche,
Les jets brulants metamorphoses en fremissantes mains
En delices embrases de vos levres et de votre bouche
Du desir sans hesiter explorer le fievreux chemin
Entre vous et moi ni reserve, ni sainte-nitouche
Dechiffrer de nos peaux sensuelles le chaud parchemin
Laissez-moi vous guider toujours plus profond pour faire mouche
Juste les corps emmeles hurlant d'un plaisir surhumain...

Encore  cette nuit voyagez avec moi dans ma couche
Regalez votre gourmande insatiable jusqu'a demain...

dimanche, 09 juillet 2006

Premier Fantasme du Chevaleresque Troisieme Visiteur

Voici un texte qui s'est impose il y a quelques nuits mais dont la fin ne voulait pas se laisser apprivoiser. Et puis hier, il a de nouveau impose sa loi, tentant d'immortaliser quelques instants de bonheur trop ephemeres, de conjurer la souffrance engendree par une histoire qui tourne mal. Aujourd'hui, longue hesitation...Publier, ne pas publier?...Mais ces mots bloquent les autres, les 3 autres billets commences ne veulent pas se laisser seduire...Alors, pas vraiment le choix...

Selon les precautions d'usage, ceci n'est a consommer que dans la plus stricte intimite...

Si vous n'etes pas majeur(e) et averti(e), n'allez pas plus loin.

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vendredi, 07 juillet 2006

"La passion charnelle reste la plus haute forme de quête spirituelle. Elle est un aperçu d'éternité." François Cheng

Nuit de l'amour virtuel
Nuit infinie sensuelle
De nos ames consensuelles
Les caresses eternelles
Nous enflamment de plus belle.
Baisers en ribambelles
Frissons en ritournelles
Echappee extra-sensorielle
Agonie de bonheur rebel
Apotheose irrationelle.
Nos corps fusiones s'appellent
Nos coeurs battant se rapellent
Nos noms mythiques s'epellent.
Du vertige le rituel
Raffut si inhabituel
Desir puissant immortel
Nous envole de ses ailes.
A nous Amants Infideles
Les sortileges charnels
De luxure nous ensorcelent
En delire emotionnel.

samedi, 01 juillet 2006

Accomplir le Rituel...

Luxure Artistique, site du Rituel en collaboration avec Artistiquement Votre.

vendredi, 30 juin 2006

"Et si l'univers est tout amour, que craindre ? Rencontrer plus d'amour encore... Un amour qui irait jusqu'à nous anéantir, pour nous mettre éternellement à l'abri de l'inquiétude et des élancements..." Robert Kemp

Parcours amoureux en cinq rencontres...

 

Premier Chapitre: le Dieu Indifferent

 

1991 - un amour virtuel avant l'internet...

 

Un grand mystere...Pendant 9 mois, nous passons 1 a 3 heures par jour au telephone du Lundi au Vendredi sous des pretextes professionnels. Votre voix est envoutante, la mienne chatouille. Nos conversations sont de veritables joutes de doubles sens coquins. Deja le plaisir des mots et de leurs jeux sans fin! Jamais aucun sujet personnel, nous n'echangeons rien de nos vies. Joueuse, l'idee qu'un homme ne connaisse de moi que la voix me seduit, m'arrange aussi puisque que mon physique quoique que plus avenant qu'avant l'infertilite reste toute fois banal et vulgaire. Alors, c'est tout moi, je vous impose une regle: nous ne nous rencontrerons JAMAIS. Cette limite artificielle ouvre en fait les vannes a des delires toujours plus torrides. Le plus fascinant est la vivacite de votre esprit, jamais avant vous, et depuis vous du reste, aucun homme, aucune personne en fait, n'a jamais pu suivre ma cadence, me contraignant toujours a ralentir. Mais avec vous, ce rythme effreine est parfaitement synchronise. Nous pouvons tout nous permettre puisque nous ne nous confronterons jamais a la realite. Parfois, vous pretendez m'imaginer et offrez cette description de vous meme: 1m50 en long et en large. Je ne vous imagine pas pour autant, je me laisse bercer par votre voix chaude et mon esprit est maintenu a vif par le defi permanent de vous repondre avec le meme ton humoristique et coquin a la fois. A aucun moment, ni l'un, ni l'autre, ne perdons le control de nous meme et nous rions et nous rions. Ca aurait pu durer longtemps ainsi, mais il a fallut que je change de travail, et dans le nouveau, pas de bon pretexte pour passer des heures ensemble au telephone. Comment faire? Le sevrage est tres penible. Quand je vous propose finalement de nous rencontrer, vous acceptez de suite, c'etait ma regle, pas la votre. La derrogation est donc ma decision. Mais comment oser la "devirtualisation"? Pour oser, j'invente un scenario, un scenario qui offre une porte de sortie et maintient le suspens jusqu'a la toute derniere seconde. J'attends les yeux fermes devant le Drugstore de l'Etoile, vous me reconnaissez facilement puisque j'ai les yeux clos, vous me parlez et votre voix est le sesame de mon regard. Je vois tout de suite dans le votre que vous etes agreablement surpris, le tailleur noir avec les escarpins hauts sous un manteau court et ample, le look femme d'affaire vous seduit. Vous etes renversant, bel italien grand, brun, tenebreux, tirre a quatre epingle dans votre costume cravatte sous un tres long manteau de laine brune, negligemment ouvert et qui vole au vent de ce matin d'Octobre pluvieux. J'ai tout de suite envie de me blottir contre vous dans ce grand manteau, mais nous n'echangeons que des baisers sur les joues, avec l'emotion de levres qui se cherchent deja. Vous m'entrainez dans un restaurant marocain, ou la conversation ressemble un peu a nos joutes telephoniques chargee de plus d'emotion. Le desir est si intense qu'on pourrait presque le toucher. A la fin du dejeuner, vous m'annoncez de but en blanc que vous n'etes pas disponible...Mon cerveau est incapable d'enregistrer cette information pourtant essentielle tant il est ennivre par vos pheromones...Je disqualifie cette relation, mais vous insistez, je ne comprendrai que plus tard, et pas par vous, pourquoi. Et nous voila deja de retour dans le brouhaha de la ville, il pleut, vous marchez vite et juchee sur mes talons j'ai du mal a vous suivre sur le trottoir glissant. Lorsque nous descendons dans le couloir du metro, le sol mouille est carrement dangereux et je vous demande votre bras securisant pour pouvoir tenir debout. A dire vrai, ca n'est pas que la pluie...Vous prenez une ligne, moi l'autre, mes yeux accroches aux votres, nous nous approchons pour echanger les baisers sur les joues de l'aurevoir mais cette fois nos levres ne peuvent se fuir. J'ai deja ecrit ce baiser a la Lelouch ou le monde sombre d'un couloir de metro bruissant de passants humides et presses au rythme des rames successives se metamorphose en jardin d'Eden lumineux peuple d'anges protecteurs, une porte sur l'infini. Cette etreinte inoubliable dure quelques instants d'eternite comme si nous avions concentre 9 mois d'intimite sur 10 minutes. Le mot embrasser a ete invente pour ces instants, jamais plus il n'aura la meme signification. Tout ce qu'il y a ensuite, votre resistance et votre redition, notre premiere fois tout habilles devant le mirroir, toutes les autres au bureau, chez moi, aucun baiser n'a plus ensuite l'intensite emotionnelle, le vertige, de ce premier baiser, meme pas les suivants...jamais aucun autre...

 

[ a suivre ...]

mercredi, 28 juin 2006

"N'avoir qu'un but en vue est l'une des causes essentielles de succès dans la vie, quel que puisse être le but poursuivi." John Rockefeller

Apres 12 ans de vie commune, on est pret a tout pour que le sexe ne soit pas toujours que tendre et fusionnel mais aussi excitant...

Tout...

Dessous coquins ou pas de dessous du tout, cuisine aphrodisiaque ou dinette en chambre, positions saugrenues ou situations inhabituelles, accessoires ou jeux, livres ou films...

Et puis, parfois, on delire franchement...

Ne continuez que si vous etes majeur(e) et averti(e)...

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mardi, 27 juin 2006

Variations sur un Fantasme, Aude, Opus #1 dit "La Montgolfiere"

Tous les fantasmes que vous avez pu lire sur ces pages jusqu'a present ont ete ecrits pour ou avec des hommes. Ils sont mon interpretation, sans doute personnelle, de fantasmes masculins. Le plaisir de les ecrire est similaire au plaisir de les realiser. Pendant de nombreuses annees, je n'avais pas de fantasmes et ma satisfaction etait de mettre en musique ceux de mes partenaires. Quelque part, c'etait une recherche d'equilibre de pouvoir: ils possedaient mon corps, je possedais leur esprit. Et puis vint le Prince des Fleurs et l'apprentissage du sentiment amoureux. Alors, j'ai abandonne le controle de l'esprit a l'amour et  a ma conquete de mon corps. Ce fut un cheminement laborieux , tres ralenti par la depersonalisation causee par les lourds traitements pour la fertilite. Quand son corps est sans cesse envahit par la medecine et qu'en plus, il se refuse obstinement a vous donner ce qui vous est le plus cher, comment l'envisager comme un temple de jouissance? Il n'y avait donc plus les fantasmes de mon partenaire qui ne m'excitent guere et ne sont de toute maniere pas vraiment realisables, et pas encore les miens, a part un vieux rabougri reste inscrit dans ma memoire depuis "9 semaines et demi" pourtant facile a realiser, pourtant partage avec de nombreux amants y compris le Prince et pourtant a ce jour reste a l'etat de fantasme...Et puis, les plus fideles de ces pages connaissent bien l'histoire. Il y a eu les bracelets de cuivre, la reconnexion avec le Dieu Indifferent, une libido de plus en plus developpee voire envahissante, la blogosphere, les autres visiteurs et ...l'emergence de mes premiers vrais fantasmes.

Alors, ce soir, l'emotion est grande de vous livrer ce premier opus, meme si un peu teintee par l'angoisse de vous decevoir. Et en meme temps, avec tous ces orages, la souffrance sombre du Troisieme Visiteur qui me hante, l'ame si douce de Dreamer qui m'apaise avec tant de fougue et de tendresse, la lecture d'une superbe scene sylvestre chez yoyostereo™ et d'une torride scene de douche chez johanna, j'aspire a l'equilibre lumineux de ce petit bout de mon paradis ecrit en Mars 2006, inspire par le deuxieme visiteur, mais pas pour attiser son desir, juste pour mettre des paroles sur la musique du mien.

Je ne sais pas si ceci est a reserver a une lecture dans l'intimite...

Je ne suis pas sure que si vous n'etes pas majeur(e) et averti(e) vous deviez passer votre chemin, mais dans le doute, abstenez-vous...

Pour les autres:

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dimanche, 25 juin 2006

Duo sur un Fantasme, Dieu Indifferent Opus # 5 Episode III

Suite de l'exploration du Fantasme du Dieu Indifferent avec Manu...

Apres les deux premiers episodes, voici donc le Troisieme...

Selon les precautions d'usage, ceci n'est a consommer que dans la plus stricte intimite...

Si vous n'etes pas majeur(e) et averti(e), n'allez pas plus loin.

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samedi, 24 juin 2006

"L'espoir est une bulle irisée qui colore fugitivement la vie." Jean Mauduit

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podcast
 

Sans exigence de conciliabules
Fuyant fieres le precieux vestibule
S'echappant du fin fond de l'abside
Coulant le long de cuisses humides
Du desir mystiques funanbules
A la saveur exquise ces bulles
Ennivrantes, brulantes et fluides
Sources vaporeuses et liquides
Transforment la glace en canicule
Et convertissent les incredules
Fabuleux aventuriers splendides
D'une epopee toujours plus torride
Et puis delaissee la somnanbule
S'eloigne dans le crepuscule
Intrepide lucide languide
Dans l'orage violent et limpide

 

Et le Rituel continue...

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 Courtesy Blue Ridge Muse
Cette nuit sur les Blue Ridge Mountains 

jeudi, 22 juin 2006

"Exprimer ses émotions, c'est comme d'enlever les nuages noirs devant le soleil pour laisser pousser les fleurs." Tanya Sénécal

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podcast
Bon d'accord, pas jeune, pas demoiselle, le mec mortel
a deja repondu a l'appel, ont deja repondu a l'appel,
et ils n'ont pas besoin d'etre fideles,
seuls les sentiments sont eternels...
Je ne sais pas pourquoi j'aime cette chanson...
surement sa derision...
Ou peut etre qu'elle me rapele d'autres temps...d'autres saisons.
L'ocean de libido qui s'agitte en moi depuis hier a du noyer le message...
Seul le sexe garde un sens...nous protege du carnage...
Deux fantasmes cette nuit ont impose leurs mots,
Mais ils ne sont pas prets, pas encore assez chauds,
Pas completement apprivoises,
une autre fois,...il faudra repasser.
Oui, ca doit etre ca...trop de desir...trop de desirs...
Peut-etre aussi ces orages qui me poursuivent sans faiblir...

 
Et pendant ce temps, le Rituel se poursuit...

lundi, 19 juin 2006

"Le poète a inventé la nymphe mais la nature avait déjà créé l'océan, le nuage et la femme." Anatole France

Samedi, dans un ciel de ce bleu pur virginien si irreel, une seule petite boule de coton noire venait obscurcir le soleil.

Dimanche, le ciel fut sans le moindre nuage...Je croyais que le Troisieme Visiteur avait tourne la page, j'etais un peu triste, il ne reviendrait plus celebrer d'orages avec moi.

Je me trompais...Aujourd'hui, des ma sortie du bureau, l'orage gronde et explose alors que j'arrive a la maison. Je reste de longues minutes, dans la chaleur tropicale de l'ete de Virginie, a gouter sa caresse fraiche et legere.

Cependant, mon desir de luxure artistique est puissant et c'est ici que vous trouverez mon billet du jour.

dimanche, 18 juin 2006

Duo sur un Fantasme, Dieu Indifferent Opus # 5

Nouvelle experience de creation erotique a deux.

Manu me fait l'honneur de sa plume complice en acceptant d'interpreter en duo la Variation Opus # 5 du Fantasme du Dieu Indifferent.

En voici donc les deux premiers episodes...

Selon les precautions d'usage, ceci n'est a consommer que dans la plus stricte intimite...

Si vous n'etes pas majeur(e) et averti(e), n'allez pas plus loin.

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mardi, 13 juin 2006

"La passion, la douleur, sont des éléments qui contiennent un peu d'absolu, qui font qu'il y a plus que le soi de tous les jours." Yasmina Reza



podcast


 

Samedi, les nuages noirs sont restés à portée de vue toute la journée...Ombres protectrices veillant au lointain...Et puis, alors qu'ils remplissaient l'horizon des reflets d'un couchant époustouflant, dégusté dans une balancelle lancinante depuis la terrasse à la vue exceptionnelle de Céleste et Bob, soudain la Lune pleine, toute ronde et énorme se faufile un court instant, comme un clin d'œil bienveillant de votre âme à la mienne. Sourire, vous trouvez toujours le moyen de me surprendre!

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Courtesy Blue Ridge Muse
 

Cette nuit, au plus profond des ténèbres, un violent claquement de tonnerre, tel le hurlement d'un animal blessé, me réveille en sursaut et le trop plein de larmes du ciel se déverse rageur sur la Virginie endormie. Vous êtes là, sur moi, en moi...comme enragé par le déchainement des éléments, et pourtant, si attentif, si prévenant, si chevaleresque. Toujours la cohabitation sereine de ces extrêmes si fascinante, c'est votre marque, le tatouage indélébile de votre âme. Mon sexe frémit, mais c'est surtout mon âme qui est parcourue d'un long frisson presque d'effroi, touchée par votre noirceur. Votre âme a en effet revêtu la couleur sombre des premiers instants, le ton obscure du premier orage, alors qu'elle voulait s'imposer à la mienne coute que coute, être reconnue par tous les moyens. 

 

Votre douleur, je la sens... La mienne, je la connais bien, je l'ai regardée au fond des yeux et je lui ai résolument tourné le dos en la confiant à la Rivanna et j'ai confiance. Là, ce ne sont pas mes maux qui me heurtent mais les vôtres. Je vous implore, je vous supplie de me laisser les faire miens. Mais vous résistez. Il vous faut toujours résister. Vous sacrifier. Me protéger contre moi-même et contre vous. Comme si vous pouviez infléchir la volonté impitoyable du destin qui se joue de nous malin. Comme si ne pas admettre la chanson de votre coeur avait pu l'étouffer, avait pu me la dissimuler. Comme si trancher tout contact pouvait rompre l'enchantement. Nous n'avons pas lancé ce sortilège, il n'est pas en notre pouvoir de le conjurer.

 

J'ai peur pour vous,
j'ai peur des risques que vous prenez pour vous sentir vivre,
j'ai peur que vous vous perdiez...

 

Il faut arrêter de souffrir...pas par ma faute...pas à cause de moi...
J'ai répondu à l'appel de votre âme pour alléger votre fardeau...
C'est notre pacte tacite...Respectez-le...Choisissez d'être heureux...

 

Après l'abandon dans mon corps,
Trois mille six cents secondes en or,
Acceptez l'offrande de ma science,
Soulez-vous de mon essence,
Buvez mon âme jusqu'a la lie,
Trouvez en moi l'ivresse de l'oubli.

dimanche, 11 juin 2006

"Il vaut mieux pomper même s'il ne se passe rien que de risquer qu'il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas." Jacques Rouxel

C'est dimanche, les enfants sont encore en France, la langue a decide de faire encore des siennes...

 Ne poursuivez que si vous etes majeur(e) et averti(e)...

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vendredi, 09 juin 2006

"La vie ne vaut d'être vécue que si elle est une légende." Olivier Frébourg

Songe ou Réalité? Le vivre ou le rêver?

Maintenant, c'est certain ca n'etait qu'un reve...

La chapelle qu'il photographiait,
La soie et les perles que je portais,
Le livre qu'il m'a offert,
Les mots du coeur qu'il m'a ouvert,
Les etoiles dans son regard
Qu'il affirmait etre mon miroir...

Le dou reve n'a pas resiste au fantasme d'exclusivite,

Le dou reve s'est laisse par le quotidien etouffer ...

Un dou reve eveille...

L'orage, O Rage, peut en temoigner...