vendredi, 09 juin 2006
"Ce qui est difficile quand on chevauche un tigre, c'est d'en descendre." Proverbe chinois
Les grandes envolée érotiques
De mes chevauchées lubriques
Attisent, éternisent, excitent
A l'ultime luxure invitent
Ne peux mes ondulations cesser
Accroupie sur la pointe des pieds
Reins, seins, chaires s'agittent
Lentement, avidement et puis vite
Débridée, déchainée, énergique
Sacrée de votre plaisir fée unique
06:35 Publié dans Amour, Blog, Fantasmes, Sensualite | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : citation, érotique, fantasme, amour, coeur, coquin, âme
jeudi, 08 juin 2006
"Entre Ce que je pense, Ce que je veux dire, Ce que je crois dire, Ce que je dis, Ce que vous avez envie d' entendre, Ce que vous entendez, Ce que vous comprenez...
... il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même... » Bernard Werber
Si, si, aussi incroyable que cela puisse paraitre,
l'un/une d'entre-vous aujourd'hui sera le/la
10 000ieme visiteur/euse
de Supplement d'ame soeur!
J'en suis encore a fixer le compteur, incredule,...
Pfffff...vous etes vraiment geniaux!!!!
Des tonnes de mots dithyrambiques
me viennent a l'esprit, mais certains
pourraient me taxer d'etre trop lyrique.
Alors, laissez un commentaire avec
votre "vraie" adresse courriel
et je vous enverrai une petite surprise
pour marquer mon appreciation :-)
En effet, vous avez ete precieux...
A chaque fois que j'etais sur le point de rennoncer,
vous avez rallie ces pages
comme si vous aviez senti ma lassitude
et avez maintenu la flamme du desir de continuer
avec des audiences depassant 250 visites par jour
( la moyenne se situant autour de 100)...
je n'ai donc pas eu le coeur d'abandonner.
Je ne regrette pas :-)
Merci !
Je vous embrasse
et a bientot sur vos pages ou les miennes!
P.S.: Petit coucou tout de meme aux fideles
citoyens du monde
(oui, vous, dont les points
grossissent sur ClusterMap ;-)).
Vous etes le plus souvent silencieux,
mais vos supplements d'ame
n'en raisonnent pas moins sur ces pages:
Maroc, Tunisie, Japon, Sri Lanka,
Haiti, Nouvelle Caledonie, Finlande,
Angleterre, Allemagne, Quebec, US...
P.P.S.: Je vous aime vous aussi fideles lecteurs
de France et de Navarre,
de Suisse et de Belgique ;-)
mercredi, 07 juin 2006
"Seul le fantastique a des chances d'être vrai." Pierre Teilhard de Chardin
Magiques, mystiques et féeriques,
Nos amours blogosphèriques
Nous plongent dans le fantastique.
Ces mots réprimés que l'on se refuse
Soudain jaillissent, se diffusent.
Déclaration passion
Flamme et frisson.
Le miel lentement infuse
Nos jolies âmes confuses.
Ludiques, épiques et chimériques
Nos amours fantasmagoriques
Nous allongent euphoriques.
14:55 Publié dans Amour, Blog, Sensualite, Visiteurs | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : citation, érotique, fantasme, amour, coeur, coquin, âme
mardi, 06 juin 2006
"... le sexe n'est pas l'amour, ce n'est qu'un territoire que l'amour s'approprie ... " Kundera
13:47 Publié dans Amour, Blog, Sensualite, Visiteurs | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : citation, érotique, fantasme, amour, coeur, coquin, âme
vendredi, 02 juin 2006
"Le bonheur, c'est quand le temps s'arrête." Gilbert Cesbron
“C’est un beau roman, c’est une belle histoire, c’est une romance d’aujourd’hui… » (Fugain)
Quelques heures de bonheur arrachees de haute lute au destin, contre la rage de l’ocean pour fuir sa vie.
Le quai de la gare, la foule debaroule mais il n’y a que nous.
Le brouhaha de la ville est assourdi par le battement de nos cœurs.
Premier regard, premier sourire, premier baiser, les yeux fermes par l’emotion. Les mains se cherchent, se trouvent, ne se quitteront plus.
Traverser le flot des gens sur un nuage, de l’autre cote du miroir, tellement ici mais tellement ailleurs, dans notre univers parallele. Tout un monde de baisers, de caresses, de magnetisme, d’amour tendre et fougueux, rien qu’a nous.
Nous savons que ca n’est qu’un reve, alors bien eveilles nous en savourons chaque seconde.
Combien de fois aurions nous pu nous donner encore l’un a l’autre si nous avions eu tout le temps ? Quand serions-nous ressortis de la 330 ? Au bout de combien de repas oublies ? Combien de temps peut-on vivre d’amour et d’eau fraiche ?
Mais les minutes s’egrennent inexorablement et puis l’heure fatidique brutale nous rejette sans aucun menagement dans la froideur de la realite, encore frissonants d’une derniere apotheose, le bouquet du feu d’artifices.
Un petit Diddl, tout dou, dou comme nous…
Derniers baisers voles dans l’ascenseur puis dans les couloirs de la Station Chatelet, et la vie reprend ses droits, impitoyable.
Mais qu’est-ce que je fais dans cet avion ?
Laisser des bouts de mon ame partout ou je passe pour aller retrouver quoi ? Un travail qu’il est temps de quitter et un Prince des Fleurs amere ?
Pourtant, je l’aime tant aussi mon Prince des Fleurs…
22:49 Publié dans Amour, Blog, Sensualite, Visiteurs | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : citation, érotique, fantasme, amour, coeur, coquin, âme
jeudi, 01 juin 2006
"Les femmes préfèrent les hommes qui les prennent sans les comprendre, aux hommes qui les comprennent sans les prendre." Marcel Prévost
Mon corps s’est transforme en veritable concentrateur de luxure. Les visites sont a present plus que sensuelles, elles sont devenues torrides et loin du Prince des Fleurs et de mes jouets, mes mains ont le plus grand mal a me soulager.
Tout me ramene a cette luxure infernale. Fonctionner normalement, m’interesser a autre chose, sont des efforts presque insurmontables. Mes pensees tournent sans cesse autour de la decouverte de mains inconnues, d’yeux petillants de desir et d’emotion, de phallus tendus et brillants d’excitation, a l’image de cette grosse queue apparue a 5 cm de mon nez en ouvrant les yeux un jour d’ete ecrase de chaleur moite dans un train de banlieue ou je somnolais, envahie d’une reverie sensuelle nonchallante, les cuisses ouvertes. Surprise, seule dans le wagon face a verge avec ce sexe triomphant, j’etais vite descendue a la station dont l’approche m’avait eveillee. J’aurais du rester, aujourd’hui je serais restee.
Le moindre nuage noir sur l’horizon, un rayon de soleil qui vient faire fremir amoureusement un feuillage, l’effleurement du vent dans les delicates fleurs d’accacia, chaque goute de pluie qui rebondit sur ma peau nue attisent chaque cellule de mon enveloppe charnelle tel un receptacle de plaisir potentiel et chaque pensee concupiscente transmise par un visiteur me parcourt en frisson savoureux dont l’onde se propage a partir de mon sexe et se deploie en pulsations vertigineuses jusqu'à mes extremites. Mes levres sont comme un passage entre ce corps et l’univers, entrouvertes, elles ne peuvent empecher l’energie sexuelle de me penetrer et la langue les humecte avidement pour faciliter cette etonante fusion.
Arpenter le quotidien les cuisses humides et les seins durcis, drole de destinee pour une carrieriste mere de famille !
09:55 Publié dans Amour, Blog, Fantasmes, Sensualite, Visiteurs | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : citation, érotique, fantasme, amour, coeur, coquin, âme
vendredi, 07 avril 2006
Variations sur un Fantasme, Dieu Indifférent, Opus # 1
J'hésite depuis longtemps à vous confier des récits véritablement érotiques ayant un peu peur d'attirer les indésirables et des commentaires scabreux. Pourtant, 5 sont prêts et 2 dorment encore bien au chaud à l’abri de mon gmail, n'attendant qu'un mot pour sortir. Les 5 sont là, à l'état de brouillons, me narguant chaque jour...Parfois, je les oublie un peu, et puis ils reviennent me sauter aux yeux comme pour quémander leur sortie. Ces 5 là, sont 5 Opus, écrits fin 2005 sur plusieurs semaines, d'un seul et même fantasme du Dieu Indifférent, exprimé comme à son habitude dans son style télégraphique: "pas très original deux jolies filles pleines d'energie" "elles peuvent s'occuper l'une de l'autre". Mais vous connaissez mon goût pour les challenges :-) Malgré l'intérêt enjoué qu'il avait porté au Prélude, le peu de réactions que ces 5 ont suscité est en grande partie responsable du démarrage de mon aventure blogsphérique. De plus, en les apprivoisant, l'écriture s’est laissée apprivoiser, et la 7ème Marche s’est aussi révélée avec la participation toujours précieuse du Prince des Fleurs. C'est pour cela que le quasi-dédain du Dieu Indifférent n’aurait pu m’arrêter. De simple spectatrice dans le Prélude, alors que grâce aux bracelets de cuivre je commençais tout juste à redécouvrir que mon corps pouvait être autre chose qu'un concentré de douleur, je m'immisce progressivement à chaque nouvelle version pour devenir la partenaire principale dans le dernier et donc assumant pleinement mon corps de presque 40 ans devant un homme qui m'a connue à 25 et pas revue depuis plus de 10 ans. Le dernier n'a jamais été achevé...j’étais sur la 7ème Marche...et il ne m'encourageait plus du tout.
Le Prélude restera mon petit secret parce qu'il a été apprécié par son destinataire, je ne crois pas vous les livrer tous, alors profitez bien de l'Opus # 1, celui où la spectatrice devient active :-). A ne lire que dans l'intimité...
Si vous n'êtes pas majeur(e) et averti(e), n'allez pas plus loin.
Cliquez plutôt ici.
9 Novembre 2005.
Gros coup de blues ce soir. Pourtant la soirée a été agréable, le Fillot écrivant des mots d'amour à toute la famille, et la Fillote avide elle aussi d'écriture qui trace à sa manière « We are family » d'après cette chanson du Mowtown que je leur chante souvent. Mais, une fois les petits couchés, Fred est fatigué et ma tentative de viol échoue...Mon corps en surrégime de désir permanent depuis plus d'1 mois a besoin d’une soupape et sans le soulagement du sexe, c'est l'implosion. Je m'abandonne au découragement devant les obstacles qui nous séparent et je fonds en sanglots. Fred essaie de me consoler par sa tendresse, c'est mignon, mais que peut-il faire?... Nous restons de longues minutes, moi versant des larmes silencieuses, lui s'endormant sur mon sein comme un troisième enfant. Les larmes finissent par me soulager un peu et, petit à petit, j'arrive à me recentrer sur la moitie pleine du verre et à vous autoriser une visite sensuelle. Votre obsession pour mes seins me ramène à votre fantasme. 4h à Paris, c'est la bonne heure pour vous offrir Kim et Angelina dans leurs tailleurs ajustés, leurs bas et leurs talons hauts.
Vous êtes tous les 3 dans un grand lit King size, pourquoi pas le mien qui est très beau en corde brune, et je vous observe depuis le Rocking Chair. Vous faites glisser les jupes courtes en remontant sur les fesses rebondies et découvrant les porte-jarretelles et les strings. Les filles s'embrassent et vous embrassent. L'une défait votre cravate, l'autre votre ceinture, et de leurs mains libres caressent de part et d'autre votre membre déjà gonflé à travers le pantalon. La fermeture éclair descend lentement, vous libérant soudain comme un diable jaillissant de sa boite. Elles s'extasient devant cette virilité sans complexe et vous régalent de leurs bouches humides et de leurs langues expertes, l'une dégustant goulument votre verge, insistant sur la couronne du gland, l'autre lapant et gobant vos noix tendues. Vous avez du mal à vous retenir, mais vous respirez à fond et dépassez l'intensité du moment, concentrant votre esprit sur les caresses que vous prodiguez généreusement à leurs seins, leurs fesses, leurs cuisses, leurs sexes mouillés et béants après avoir effacé les strings selon votre technique favorite. Alors que l'une s'empale d'un seul coup de rein assuré, l'autre continue de ses petits coups de langue plus bas en caressant vos cuisses avec une fermeté qui fait encore monter votre excitation. Et moi, spectatrice muette, je craque et me caresse furieusement gouttant chacun de vos frissons, chacun de vos coups de rein. Vous prenez la deuxième en levrette alors que la première aventure sa langue autour de votre anus qui frémit de cette humidité inattendue tout en vous administrant de petites fessées sèches et claquantes qui laissent une jolie marque rouge et blanche. Mes doigts sont impuissants à tenir mon excitation en respect et je saisis le premier objet à porte de main, un flacon de verre, qui glisse tout droit en moi et concentre les contractions de mon sexe. Trois orgasmes simultanés, le votre, puissant, celui de la petite chienne en levrette ponctue de petits cris et le mien un peu en retrait. Bien qu'elle ait déjà joui, la première en veut encore et vient lécher avide votre queue dégoulinante pendant que vous la pénétrez à pleine main. Vous sentez rapidement les spasmes de son 2eme orgasme et tous les corps s'écroulent alors assouvis et ramollis. Alors que vous laissez le sommeil vous gagner, je les fais sortir et viens me blottir contre votre corps encore frissonnant et nous nous endormons ensemble.
Votre âme sœur et partenaire de vos fantasmes nocturnes, Aude.
12:35 Publié dans Amour, Blog, Fantasmes, Sensualite, Visiteurs | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : Journaux personnels, citation, attachement, érotique, fantasme, amour, coeur, jarretelle, guêpière