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vendredi, 08 septembre 2006
"La beauté du monde, qui est si fragile, a deux arêtes, l'une de rire, l'autre d'angoisse, coupant le coeur en deux." Virginia Woolf
La lumière ne cesse de tressauter
Comme un vieux néon fatigué.
Ses hésitations sont accompagnées
D'un sifflement strident d'intuition activé.
Il y quelque chose qui cloche. Cette angoisse n'est pas mienne.
Le coeur brille toujours, sous la chape de plomb qui le freine...
De quel visiteur émane-t-elle?
Certains silences coupent les ailes.
Quand la lumière a grand peine
A repousser les ténèbres,
Peut-être quelques sourires...
Peut-être une bonne dose de rires...
Commentaires
Une énorme dose.
...
Écrit par : alex | vendredi, 08 septembre 2006
Merci, alex, merci de sortir de l'ombre pour un supplement d'ame.
Écrit par : Aude | vendredi, 08 septembre 2006
ça n'aurait pas été facile
Virginia!
mais tu aurais bien fini
par l'entendre
par la suivre
Virginia !
sur la crête,
là où ne coule jamais vraiment
les rivières .
Écrit par : Vita | vendredi, 08 septembre 2006
Funnambule sur la corde raide, Vita. Merci :-)
Écrit par : Aude | vendredi, 08 septembre 2006
J'ai beaucoup aimé ce roman
Ambiguité...
Écrit par : laparhasard | vendredi, 08 septembre 2006
Dualité, laparhasard. Merci de votre passage :-)
Écrit par : Aude | vendredi, 08 septembre 2006
Bise du soir je suis fourbu que je nai pas le courage de suivre ce soir (je ne suis vraiment pas fait pour le boulot).
Merci pour votre supplément Aude...
Écrit par : le rat vit | vendredi, 08 septembre 2006
Merci le rat vit, faites de beaux rêves :-)
Écrit par : Aude | vendredi, 08 septembre 2006
Quelque chose de superbe ! comme une lumière magique.
Écrit par : Pyrome | samedi, 09 septembre 2006
Oui pyrome, c'est la protection de la Rivanna qui anime cette forêt.
Écrit par : Aude | samedi, 09 septembre 2006
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