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mardi, 31 octobre 2006

"A chaque sommet on est toujours au bord d'un précipice." Stanislaw Jerzy Lec

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Surfer le sommet de l'éclair
Se confondre dans la vague
Translucides comme le verre

Miroir reflétant le miroir
Sur le silence divague
Frissons futilisant l'espoir

Le pic concave du néant
Dissout l'innocent sans bague
Sans but et sans engagement

Là et nulle part et ailleurs
Ensembles et seuls se draguent
D'éblouissement se meurent

Commentaires

Niez tant que vous voudrez le principe de réalité !
Il se vengera .

Écrit par : . | mardi, 31 octobre 2006

quel est ce fameux principe de réalité? est-ce le principe qui tient compte du fait que le réel n'est constitué que d'idées fictives?

Écrit par : gmc | mardi, 31 octobre 2006

Le principe de réalité ne tient compte de rien, ni même du fait qu'il soit fameux . Il préexista aux idées fictive , lui subsiste, l'ignore, va sa route...

Écrit par : . | mardi, 31 octobre 2006

Chère ., il n'y a pas de principes ou de dogmes ici, juste une interpretation maladroite d'une palpitation connue sans être comprise...

Écrit par : Aude | mardi, 31 octobre 2006

et en quoi le texte ci-dessus nie-t-il ce fabuleux principe?

de plus, si effectivement il le niait, en quoi le supposé "principe de réalité" issu d'une loi sans règle aurait-il besoin de se venger?

en quoi donc ce texte manque-t-il de paradoxe et d'équilibre?
ou plutôt, est-ce le texte lui-même qui manque de paradoxe et d'équilibre ou ce manque supposé (pas démontré pour l'instant) n'est-il pas le reflet du regard qui contemple ce texte?

Écrit par : gmc | mardi, 31 octobre 2006

On dira que le principe de réalité est doué d'un regard spécial qui sait faire la différence entre le surfait, le fictif et l'impulsion , l'avênement le surgissement furtif du réel .

Écrit par : . | mardi, 31 octobre 2006

Vos poèmes , à Aude et gmc (je me demande parfois si vous n'êtes pas qu'un seul) sont incolores, inodores et sans saveur à celui ou à celle qu'investit le principe de réalité .

Écrit par : . | mardi, 31 octobre 2006

foutaises! si c'était le cas, il répondrait à un texte poétique par un autre texte poétique pour restaurer le paradoxe ou l'équilibre supposé manquant, il ne se contenterait pas d'un anathème dialectique qui, en aucun cas, ne reflète un regard global mais une prise de vue partielle et partiale.

rappel judicieux:
dialectique: produit de la pensée
pensée: du sanscrit "mens, manas", mesurer
poésie: du grec "poeîen", créer

ah, le refus des courbatures....une île même désertique n'est pas le désert...

le supposé "principe de réalité" poétise en permanence, il n'a donc aucun souci pour exprimer l'équilibre et le paradoxe qui règnent dans telle ou telle forme humaine, celle-ci n'a donc aucun souci pour le retranscrire....

Écrit par : gmc | mardi, 31 octobre 2006

Je ne te souhaite ni les courbatures , ni l'apnée de celui qui se bat pour le principe de réalité gmc . Ah l'abandon ! Je vois !

Écrit par : . | mardi, 31 octobre 2006

On répond à la poésie par la poésie, à l'amour par l'amour ... Encore faut-il qu'ils aient lieu .

Écrit par : . | mardi, 31 octobre 2006

- le texte de départ n'est pas de la poésie?

- qui se bat pour un "principe de réalité"?

- c'est quoi, l'Amour?

Écrit par : gmc | mardi, 31 octobre 2006

Chère ., si certaines poésies peuvent se confondre, c'est parce qu'elles émanent d'un seul et même souffle...Issues de différents auteurs, de différentes époques, de différentes cultures, dans des formes et des langages variés, elles témoignent toutes de la même expérience, l'expérience de l'Amour. Ces poésies sont abstraites, hermétiques à un déchiffrage rationel, parce que le langage figuratif est impuissant à retranscrire l'illumination de l'Amour. Chercher à les comprendre en détruit le sens, seule l'intuition peut en approcher l'apréhension.

Posez-vous cette question, pourquoi lisez-vous ces poèmes? Peut-être alors pourrez-vous vous laisser emporter par la Valse...

Écrit par : Aude | mardi, 31 octobre 2006

Je reviens sur ce blog après une petite absence..
je trouve la citation d'accroche particulièrement vraie.
Merci.

** bisous **

Écrit par : stella | mardi, 31 octobre 2006

Merci Stella & welcome back :-)
Tout est en effet une question d'équilibre...

Écrit par : Aude | mardi, 31 octobre 2006

impossible d'accéder à ton dernier article je laisse donc une trace ici...
Délivre-nous du mâle! livrée à tes maux, ivre de tes mots, tu es mon essence, combustible, lubrifiant, mes sens brûlent mais je ne peux éteindre l'incendie juste étreindre les draps souillés d'envies.
Merci de tes passages, souvent sages...;-)

Écrit par : johanna | mercredi, 01 novembre 2006

Merci Joh, je te souhaite de trouver l'apaisement (et le sommeil ;-) ), la clé est dans ton coeur :-)

Écrit par : Aude | mercredi, 01 novembre 2006

"A chaque sommet on est toujours au bord d'un précipice." être au bord du précipice ça me connait , il me fait peur et ma mal ...mais quel plaisir d'être au sommet:-)

Écrit par : le rat vit | jeudi, 02 novembre 2006

Aude moi aussi je ne peux ouvrir ton nouvel article
bises:-)

Écrit par : le rat vit | jeudi, 02 novembre 2006

Quand on a pas peur de tomber, c'est encore plus jouissif le rat vit. Je vais regarder ce problème...Merci et baisers à toi :-)

Écrit par : Aude | jeudi, 02 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.