lundi, 21 mai 2007
MES MAINS SUR TES HANCHES
Un reflet de pur
Sur une vague de jour
Comme le baiser d'or d'un papillon
Une étoile de pluie
A l'intérieur d'une brume de cendre
Un seul ruban en satin de carnaval
Les sourires du miel
Libèrent le parfum du chant
Sur les collines de l'amour
Le crépuscule ne sait esquiver
La valse des coeurs
Dans la spontanéité du calme passionnel
En miroir de TES MAINS SUR MES HANCHES de gmc
22:55 Publié dans Les mots vides, Miroir | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : poésie, poème, extase, écrire, amour, vers, spiritualité
Commentaires
un nouveau poeme à lire, mes yeux s'éveillent
par ce doux soleil de fin mai tu nous parle d'amour
Passionné par tes mots frais et lourds de sensualité,
je m'écrase sous leur poids et m'envole à tire d'ailes
merci
Stevo
Écrit par : stevo | mardi, 22 mai 2007
Merci stevo, ce poème reste un frêle reflet de l'émotion que l'original a éveillée...Merci de ce doux regard...
Écrit par : aude | mardi, 22 mai 2007
Tu manies la rhétorique avec brio !Ce poeme est plein de contrastes , j'adore tes oxymores...
Écrit par : Stevo | mardi, 22 mai 2007
les extrêmes sont semblables pas rhétoriques ;-)
Écrit par : aude | mardi, 22 mai 2007
Les commentaires sont fermés.