lundi, 02 avril 2007
déliraude #60
Un doigt de soleil malin
Porté par le vent mutin
Frôle le voile délicat
Qui couve les braises de froid
Les atomes doucement bousculés
Activent leurs électrons saturés
Échangent dans le gai chaos
Ces particules sans ego
L'homme rayonne de féminin
La femme s'embrase de masculin
Un devient deux dans l'âtre
Et un plus un font quatre
Comme l'histoire n'a pas de fin
Et que bien d'autres deux naissent d'un
L'amour conjugue à l'infini
Le coeur des créatures éblouies
00:00 Publié dans L'intimité de la béatitude | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, songe, spiritualité
Commentaires
chère Aude
je me marie bientôt
je suis très heureuse!
il est grand et fort
je ne serai plus seule
tendremel
Écrit par : amelle | lundi, 02 avril 2007
Hummm...tendre Mel! Quelle merveilleuse nouvelle! C'était palpable...Ton absence de la blogosphere irradie l'amour!
Meilleurs voeux de bonheur!!!!!
Écrit par : Aude | lundi, 02 avril 2007
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