mardi, 19 décembre 2006
Arpèges
Les doigts volent sur la harpe du sommeil
Quand les mélodies des songes appareillent
Prendre le large sans contrainte
Dénouer les attaches de l’étreinte
Ne plus croire au pouvoir faux
Sensé endiguer le flot
Le raz de marée
De soie moirée
Qui infiltre et glisse
Dans les interstices
La femme de chambre de l’Amour
Ne saurait arrêter l’eau qui court
20:15 Publié dans Cartes postales de l'Extase | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : extase, béatitude, amour, songe, espérance, solitude, jouissance
Commentaires
Femme de chambre de l'amour et eau qui court...en même temps ;-)
Écrit par : le mendiant | mercredi, 20 décembre 2006
Avec des bulles en plus, le mendiant ;-)
Écrit par : Aude | mercredi, 20 décembre 2006
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