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mardi, 14 novembre 2006

Contes de fées

Un voile éthéré de pluie vient caresser les ondulations brunes et bleutées de l’horizon. Tiédeur lascive d’une sieste un après-midi d’été dans l’ombre lumineuse d’une chambre grande ouverte sur la mer, ses rideaux de mousseline délicatement enivrés par la brise océane. Les rayons pastel d’un soleil de douceur percent ça et là au travers de dentelles de nuages et de ciel. Le ronronnement de 240 chevaux fait écho au vide de l’âme rassasiée. Le mirage est parachevé, bouleversant de beauté et de paix, comme si l’instant s’était arrêté bouche bée devant le panorama miraculeux, comme si aucune colère, ni aucune peur ne pouvaient trouver un point d’ancrage dans la magie du décor, comme si l’Amour ressemblait aux contes de fées.

Commentaires

contes de fée ou contes tout court ? pour moi l'amour se décline au pluriel, même s'il est unique, la souffrance en fait partie,le jeu et le bonheur aussi ; l'amour c'est toute une conjugaison,souvent difficile...

Écrit par : azazel | mardi, 14 novembre 2006

les amours plurielles ne sont qu'un synonyme pour business ou troc, des agrégats de pensées faiblardes carrossés par les délires mentaux de l'orgueil d'une image mentale se prenant pour un dieu.

seule est l'Amour, ou agapè chez les grecs, inconditionnelle, inconditionnée et non théorisable ou conceptualisable.
le reste est pure invention vaniteuse.

Écrit par : gmc | mercredi, 15 novembre 2006

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