lundi, 28 novembre 2011
De l'état létal...
Quand l'essentiel est vain
Le superflu prétend occuper l'espace
En pur piètre
Le temps tremble un peu
Comme un frisson se dépose
Presque inattendu
L'âme s'effiloche peu à peu
Tout au bout du soupir
Exclue du moindre enchantement
Retour sur intérieur
En bordure de l'état létal
Fasciné par l'appel de l'outre vide
23:02 Publié dans intégrale volume 6 | Lien permanent | Commentaires (0)
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