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lundi, 13 avril 2009

abjuration

L’amplitude de la déchirure ne se résorbe pas avec la résignation, elle devient juste plus incandescente comme le rêve familier s’harnache à la tessiture du silence pour ne pas s’écouler. L’insuffisance ne peut étrangler le geyser, elle se confond jusqu’à la verticale des facettes comme la résolution à l’impuissance se pare de flaques de sourires pour mieux s’interloquer. L’ivresse s’acharne, la douceur se parachève, saillie corrosive où s’engloutit l’existence à tous crins. Le rivage se fond à l’horizon, mirage de la source au zénith de fraîcheur, filet d’innocence suivant la ride d’un cheveu blanc. Reste le papillon d’un baiser à la commissure du cœur, là d’où il ne peut s’abjurer.

Commentaires

Les écartées lèvres de la dépliure
Hésitent à se résigner à n'être pas :
Elles rougissent à leur rêve
Qui s'acharne à la tessiture du silence
pour ne s'écouter pas.

Le geyser point ne s'étrangle
à son insuffisance :
il se confond à sa verticale,
à la résolution de ses facettes
comme solution à sa puissance
et s'apparie dans ses flaques toquantes
à son inter-sourire.

L'ivresse va souvent son cours
et se parachève, douceur ou saillie
où s'engouffrent le crin de l'existence.

Un visage se confond à l'horizon rafraîchissant,
pavage du zénith hurlant de chaleur,
plein du sens d'une ride aux cheveux blancs.

Au loin, le pavillon, au son d'un baiser
aussi sûr que le coin des lèvres,
Hésite à s'abjurer là où l'art de
l'*où* généreux se déshabite.

Écrit par : . | mardi, 14 avril 2009

Termes qui claquent, arrachés de la terre de lave, un volcan à éruption, la brûlure du feu d'enfer.

Écrit par : SiL | jeudi, 16 avril 2009

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