mardi, 18 novembre 2008
tueries
Les mots ont tué. Ensuite ce furent les pétales, le cœur en suspens, un froissement et, comme la rigidité attisait toujours l’écorce, l’amour a encore tué, à chaque inspiration, froufrou de frictions aux scintillements aérodynamiques de graffitis d’eau d’or. Alors la pulsation s’est répandue, simple pulsion de grâce.
08:19 Publié dans poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, recueil
Commentaires
amour fraticide pour un supplément d'âme soeur.
Écrit par : monsieur zeug | mardi, 18 novembre 2008
bienvenu monsieur zeug et merci :)
Écrit par : @ude | mardi, 18 novembre 2008
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