lundi, 20 octobre 2008
démâyâge
Le souffle ardent perd encore l’esprit, dissolvant invariablement les contraires dans la matière de leurs jeux équilibristes. D’un froissement d’apparence, l’innocence éclot de la connaissance, la douceur sourd de l’obtus et le scepticisme embrasse la soumission, tout simplement, en pleine inconscience, comme le mouvement absolument statique qui jamais n’emplit ni ne vide et ouvre les mandorles à l’amalgame inconditionnel.
18:44 Publié dans poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, recueil
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