jeudi, 12 juillet 2007
alvéole
sous l'auréole de l'alvéole
les innocences s'intempérent
philtres spontanés
aux décantations de temps
dépouillés et lyriques
les images ravagent l'horizon
et les sens s'écorchent
à l'accent du regard
des rebondissantes tendresses
ne subsiste que le feu
en co-dépendance
dans les brisants des voix
d'où s'écume la flamboyance
épisensualité béate
20:37 Publié dans Les mots vides | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Comme un épicentre tumultueux ;)
Écrit par : pyrome | dimanche, 15 juillet 2007
Alors celui de la tendresse, pyrome, celui de la tendresse...
Écrit par : aude | dimanche, 15 juillet 2007
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