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mardi, 10 juillet 2007

étirés


Plus rien ne raisonne aux racines du silence, plus rien, sinon ces sourires nantis qui s'emmêlent, plus rien , sinon ces élans vagabonds, blottis entre les étamines. Certains croient pourtant l'entendre, mais l'ouïe les aveugle et leurs mots s'y heurtent. Ils se voilent parfois de l'éloquence du désespoir ou même de l'espoir, simples mirages de la jouvence de ce qui ne se comprend pas. Alors sous les ventilateurs, l'azur étire ses gazes en se prélassant dans la vaine impotence des mystères trépanés, et les fous jouissent.

Commentaires

Hum! quelle folie !!!

Écrit par : pyrome | jeudi, 12 juillet 2007

soyons fous, pyrome ;-)

Écrit par : aude | jeudi, 12 juillet 2007

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