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mercredi, 28 mars 2007

amalgame

Etre homme

Principe orgasmique masculin

Explosif, vif, bref

Ejaculer et contempler  

 

Etre femme

Essence de jouissance féminine

Insondable, inépuisable, interminable

Jouir et agir  

 

Déconditionnement  

 

Etre

Ame de l’amalgame

Conflagration perpétuelle, vigueur surréelle, instantanéité éternelle

Etre et aimer  

Commentaires

Le serment

Dès l'instant où je l'ai vue
Alors j'ai tout de suite su
Ces cheveux blonds, ces yeux qui brillent
C'était en plein ton genre de fille
Tu t'es levé, et tu lui a parlé
Le courant est tout de suite passé
Depuis qu'elle est entrée dans ta vie
Elle n'en est jamais ressortie

De toute façon fait ce que tu veux
Pourvu que tout aille pour le mieux
Mais n'oublie jamais tes amis
Parce que tu comptes pour eux aussi
Toutes ces années qu'on a passées
A s'engueuler, se réconcilier
Ca peut pas s'effacer comme ça
Fais un effort, n'nous oublies pas

T'es amoureux; profites-en
Crois-moi ça n'arrive pas souvent
Mais laisses pas l'âge t'en imposer
Et laisses pas la vie te casser
Même avec la fille de sa vie
Personne ne sait comment ça finit
Peut-être qu'un jour ça se terminera
Mais nous on sera toujours là

De toute façon fait c'que tu veux
L'important c'est qu'tu sois heureux
Mais n'oublies jamais tes amis
Ceux à qui tu avais promis
De ne jamais tourner le dos
De ne jamais garder rancune
Car une amitié qui se termine
N'en aura jamais été une

Moi j'ai un grand frère, il s'appelle Olaf
Il va partir à la guerre, toute ma famille est très fière
Oh moi j'veux pas y aller, oh moi j'veux pas crever !
Je suis allergique aux armes et à la marche à pieds

Mon frère n'est pas revenu, il est mort au combat
Dans une fosse anonyme maintenant il reposera
Mon père à honte de moi, me dit qu'j'suis un cloporte
Mais mieux vaut être une honte vivante qu'une fierté morte...

Ouais, Ludwig à raison, les morts sont des cons
Et moi aussi maintenant je chie sur leurs tombes
Pour ternir un peu de tout ce qui leur reste
Un bout de cimetière et cette fierté que je déteste

Comme nous tu frappes tes peaux
Et tu grattes tes cordes
Tu aboies dans ton micro
Comme les chiens qui mordent
Sans être un virtuose
Tu t'débrouilles assez bien
Tu sais qu'c'est à ceux qui osent
Que demain appartient
Tu as la nuit, la rage et la rue
La force et l'énergie des espoirs déçus
Tu rêves d'artistes libres
Qui savent encore créer
Des musiques qui enivrent
Les sauvages de ta cité

Comme nous tu avais cru
A l'unité d'une scène
Mais ce rêve s'est perdu
C'est toujours la même rengaine
Compétition, jalousie
Sapent le moral et tuent l'esprit
La promotion véreuse
Rend l'industrie dangereuse
La "musique-produit" n'a pas d'intérêt
Cru, vivant, insoumis
Sauvage tu restes vrai
Comme nous les castes du rock
Tu les fuis, tu t'en moque
Tu sais qu'elles divisent
Cette scène qui s'enlise

Jamais je ne me renderai
Jamais je ne changerai
Comme nous tu continues
A rêver de concerts, de fêtes ininterrompues
Et de faire le tour de la terre
Pense à ce public qui te ressemble tellement
Tu veux qu'on lui explique qu'on peut vivre autrement
Pratique dans ton trou, joue ta propre musique
Continue jusqu'au bout en restant authentique
Peu importe c'qui arrivera, tu te seras amusé
Et tu n'regretteras pas d'avoir persévéré

D'avoir persévéré
Sans jamais reculer
Et toujours continuer
Sans jamais t'arrêter
Sans réddition

un peu de banlieue rouge

Écrit par : charles | mercredi, 28 mars 2007

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