jeudi, 31 janvier 2013
Le sourire de l'ombre
Le mot confié à la page et la rage en est épurée. Il n'est pas d'orage pour laver votre émerveillement, pas plus que d'ouragan pour détremper le mien.
De nos tempêtes concubines, naissent des arcs-en-ciel de connivences et toutes ces nouvelles couleurs nous arlequinent loin des rondes effrénées de convenances.
00:30 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
"De nos tempêtes concubines, naissent des arcs-en-ciel de connivences et toutes ces nouvelles couleurs nous arlequinent loin des rondes effrénées de convenances."
C'est la moitié de votre texte en une seule phrase. Trois lignes pour une très nette image. Jolie trouvaille.
Lorsque la forme et le fond écarquillent le regard, dessinent l'auteur, se destinent au lecteur, les mots simplement, imposent la connivence.
Écrit par : Cribas | lundi, 04 février 2013
Merci Cribas pour ce commentaire dans la veine du texte qui lui aussi en dit long et joliment en peu de mots :)
Touchée...
Écrit par : @ude | lundi, 04 février 2013
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