Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 31 janvier 2013

Le sourire de l'ombre

Le mot confié à la page et la rage en est épurée. Il n'est pas d'orage pour laver votre émerveillement, pas plus que d'ouragan pour détremper le mien.

De nos tempêtes concubines, naissent des arcs-en-ciel de connivences et toutes ces nouvelles couleurs nous arlequinent loin des rondes effrénées de convenances.

Commentaires

"De nos tempêtes concubines, naissent des arcs-en-ciel de connivences et toutes ces nouvelles couleurs nous arlequinent loin des rondes effrénées de convenances."

C'est la moitié de votre texte en une seule phrase. Trois lignes pour une très nette image. Jolie trouvaille.
Lorsque la forme et le fond écarquillent le regard, dessinent l'auteur, se destinent au lecteur, les mots simplement, imposent la connivence.

Écrit par : Cribas | lundi, 04 février 2013

Merci Cribas pour ce commentaire dans la veine du texte qui lui aussi en dit long et joliment en peu de mots :)
Touchée...

Écrit par : @ude | lundi, 04 février 2013

Les commentaires sont fermés.