mardi, 24 juillet 2012
Étranglement
Un dernier souvenir de féminité s'échoue sous le ressac des tâches qui la décomposent et revient cycle après cycle le murmure écarlate comme les spasmes d'un souffle immunisé contre son insanité. Rien ne peut être assez, une pile d'os délavés de soleil que se dispute une bande d'enfants écorchés. La voix s'étouffe dans son propre hurlement, circonvolutions errantes de la solitude désinvolte. Un peu d'angoisse, d'horreur, pour consumer la source, infini du cercle étranglé.
07:08 Publié dans intégrale volume 6 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Vraiment ?
Ne sont-ce pas là présomptions ?
Quatre phrases et c'est tout ?
Je suis l'avocat de Rien mais
depuis cette date du 24 juillet
tout va mieux isn't it ?
sinon,
le cercle c'est bien mais
la sphère c'est mieux
t'en souviens-t'elle ?
kantaceux kitentende
euh pour l'infini et tout çahhhhhh law
ouaip les deux là !
ben on s'demande
si dés fois t'aurais pas choppé la grippe law
ou un truc comme ça...
paskeu vraiment la féminité
ben on aime ça nouzots law...
Non mais...
alors faîte kekchose law ou-bien j'répond plus de mon pote
va encore t'inventer des trucs kekzistent pas
enfin pas law
et j'voudrais pas bien ki m'fasse une rechutte
c'est pas bon pour ce kila
a dit le docteur...
merci
Écrit par : vraiment ? | mardi, 04 septembre 2012
Ne naissons-nous pas tous d'un étranglement? En tout cas, certains avénements ou non-avénements sentencent à perpétuité, quoi qu'on fasse...
Écrit par : @ude | mardi, 04 septembre 2012
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