lundi, 02 novembre 2009
peu importe
je m’importe peu
toujours la perspective s’échine
sans matérialiser un signe
au commencement des innocences
à la saillie des bois de chauffe
en mille lieux comme en sang
tu étires ton art maniaque
en plein contre les parallèles
au plus prêt des feintes accords
scellant la mort encore
dans les éclats d’amour
qui importent si peu
23:37 Publié dans intégrale volume 5 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
belle poesie!
Écrit par : emule | jeudi, 05 novembre 2009
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