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dimanche, 10 mai 2009

sans faim

Les contenances dégringolent décontenancées par leur rechute perpétuelle. Les brèches s’ouvrent de toute chair, enchères en fusion béantes où s’émèchent les entrechats. Les camouflages duellent jusqu’à la dernière goutte, cruels renversements d’inhibitions imbibées à ras, jeux d’ombres et de chimères plombées. Mise à muse et même pas, plus livide qu’une indigestion, plaie impalpable, grouillante, vidée de couleur. Un dernier soubresaut et RAS en SOS, fine poussière dispersée comme un pieu en pleine cible et le sang qui s’ecchymose au point d’impact, voile scintillant sur le vil en proie à la vie. Ni femme, ni poète.

Commentaires

Savez-vous planter des clous, à la m'Aude, à la m'Aude...

Écrit par : Pessah | jeudi, 04 juin 2009

rire d'andouille ;)

Écrit par : @ude | jeudi, 04 juin 2009

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