jeudi, 01 janvier 2009
front clair
vous êtes arrivé comme un grand vent d'orage
enveloppé dans un long manteau de foudre
vous aviez le front clair des cavaliers du néant
et la voix attendrissante d'un enfant
d'emblée tout se cale sur le premier temps
sans pose ni masque ni fuite
juste deux paumes qui se frôlent
juste deux paumes qui se frôlent
lorsque la nuit est invitation
le deuxième temps est enlacement
les candeurs qui s'enchevêtrent au fil de l'eau
suivant naturellement le courant symbiotique
et au troisième temps...la valse est lancée...
02:04 Publié dans poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
C'est l'histoire d'un pauvre homme dans sa pauvre maison baisant sa pauvre femme de bien pauvre façon lui fit un pauvre enfant qui vecut pauvrement,c'est la vie c'est la vie c'est la valse cinq temps que danse madame satan
(manu chao)
l'emene au cinema seul avec ma nana:)
bonne fête
Écrit par : Charles | jeudi, 01 janvier 2009
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