jeudi, 13 novembre 2008
portrait assis
Les rosées d’aurore transparaissent dans les champs d’impossible, sous le regard goguenard de quelque fragrance déposée à la volée par le sourire d’un arc-en-ciel. « D’où vient la voix ? » avait-il dit, là où il y a de l’or. « Je te reconnais » répond-elle encore s’il se tait. Alors le chant valse avec le silence dans cet embrasement spontané où tout commence sans fin, où rien est la clef et à la clef, jusque dans les replis de soie.
07:51 Publié dans poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Dans les replis de soi(e), se voit le champs des possibles, olfactive vision de ta voix.
Écrit par : zeg | jeudi, 13 novembre 2008
oui le chant valse :)
Écrit par : Gondolfo | lundi, 24 novembre 2008
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