vendredi, 23 mai 2008
fourmillement
un éclair au seuil des reins
trait de douceur infinie
combustion consensuelle
sur les rivages ravagés
le pas de la statue
saisie à l’ombre du piédestal
silhouette affranchie
cinglante de lumière
séquence interminable
renouvellement endémique
comme des volutes de carmin
étreignant l’azur au zénith
apnée intime
subjuguée de facettes
dans les abysses de luxuriance
où fourmille l’amour
18:16 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Plaisir sans faille
Écrit par : pyrome | samedi, 24 mai 2008
tes mots sont toujours aussi 'sublimes' !
ensorcellement [...]
Écrit par : Céphée | jeudi, 29 mai 2008
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