mercredi, 12 décembre 2007
déposées
quelques armes déposées
aux pieds des balcons
restes de larmes
de tréfonds ensoleillés
toujours cette inflexion
à l'épicentre de la courbe
dans l'arrondi des obtus
l'ardente douceur
arpente la douleur
la pulvérise
en bruine de feu
éveillant soudain
tous les atomes de soie
en une fugue d'étincelles
08:05 Publié dans ensourcelé | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Désir étincelant :)
Écrit par : pyrome | jeudi, 13 décembre 2007
primum non nocere...
Écrit par : Fabienne | samedi, 22 décembre 2007
Nous n'avons pas plus ce pouvoir-ci qu'un autre Fabienne,...
Écrit par : aude | samedi, 22 décembre 2007
le pouvoir peut-être pas...
mais en ce qui me concerne (en tant que médecin, surtout dans ma spécialité) le devoir, certainement !
mais ceci est une autre histoire...
Écrit par : Fabienne | dimanche, 23 décembre 2007
pouvoir, devoir, vouloir...
les mots en "oir"
sont des entonoirs
vers le deboire
restons en abandon...
Écrit par : aude | dimanche, 23 décembre 2007
Les commentaires sont fermés.