jeudi, 20 septembre 2007
profane
un soir comme une nuit sans fin
étendue de moiteur caverneuse
au delà de l'obsession mâle
l'innocence se fragilise
jusqu'à l'éclat
en panaches d'étincelles
rivales des étoiles rieuses
tessons de coeurs
dans les bras des galaxies
une aube comme un jour infini
plaine escarpée sous le regard
presque femme
con tu permiso... (Alfred)
profana
en un atardecer como noche inmóvil
extensión de trasudor cavernoso
más allá de la obsesión viril
la inocencia se hace frágil
hasta el pedazo
en penachos de chispas
rivales de las reidoras estrellas
cascos de corazones
en los brazos de las galaxias
en una alba como un día sin acabar
llanura escarpada bajo la mirada
casi mujer
00:15 Publié dans espagnol, Les mots vides | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Presque, presque... Qd même :)
Écrit par : pyrome | samedi, 22 septembre 2007
Si presque, ou presque pas, pyrome :)
Écrit par : aude | samedi, 22 septembre 2007
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