mercredi, 13 juin 2007
langue paresseuse
d'une langue paresseuse
avaler les soupirs
sans fierté
gorgées de poison alangui
anesthésiant la perception
bouchées de crème braisée
électrisant l'émotion
lampée de souffre douceur
édulcorant l'affliction
07:12 Publié dans Les mots vides | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Nul ne doit jamais être obligé de faire
ce qu'il ne veut pas faire, à moins
d'en vouloir faire un poème, mais
ce serait là bien des souffrances
à vivre vécues pour les
simplement faire revivre aux autres.
La poésie est la liberté de l'âme
libre qui a vécue libre pour
vouloir vivre libre,
féminine ou masculine.
L'obligation pour satisfaire,
qui transparaît dans ces vers,
un autre que soi hors d'une somme de commun ressenti âmellement
clodique à rejoindre la forme poétique :
Liberté, liberté chérie,
je n'écrirai pas seulement ton nom,
je le vivrai aussi !
Écrit par : kristaristeau | jeudi, 14 juin 2007
Merci kristariteau, votre commentaire me fait découvrir ce poème sous un tout autre jour que l'état d'esprit quand je l'ai écrit! Voilà pourquoi j'aime tant écrire en mode subjectif ;-)
Sur le fond, je vous rassure personne ne parvient à me contraindre, même pas moi-même :-)
Écrit par : aude | jeudi, 14 juin 2007
Sourire, retrouver vite vos papilles :)
Écrit par : pyrome | samedi, 16 juin 2007
elles sont bien éveillées, pyrome, merci :-)
Écrit par : aude | samedi, 16 juin 2007
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