vendredi, 01 août 2008
sans histoire
tu aveugles les ténèbres
des aubes polychromes
rien ne peut se perdre
gravé sous tes doigts
dans le cycle infatigable
sans histoire
où tu oublies
où la lumière te berce
jusqu’au sourire perpétuel
pour un chevalier perdu et fatigué...
07:00 Publié dans poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil