mercredi, 14 janvier 2009
brísingar
qu’il est long le collier d’étincelles
qui embrase le sein
il étire langoureux chaque joyaux
jusqu’au fin fond de l’insondable charnel
s’enroule vivement à la perpendiculaire
en effleurant facétieux les cils
s’allonge voluptueux encore un peu
à l’ombre des étamines
mais ne laisse jamais miroiter
que son unique chaînon de platine
21:51 Publié dans poésie intégrale | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie, poème, extase, béatitude, amour, écrire, éveil
Commentaires
Très sensuel ... j'ai beaucoup aimé
Écrit par : Guess Who | jeudi, 15 janvier 2009
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