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vendredi, 22 février 2008

le jeune homme au regard blanc

traînée de poudreuse déchirant la nuit

le parme englue l'éternité

qui se prélasse à l'orée de l'intangible

la poésie est un jeune homme au regard blanc

le tintement métallique d'une chaîne brisée

la furie assouvie d'une larme de lune

et sous les mots posés au plus pur

retentit la sentence du futur

Commentaires

A la sortie d’une rivière d’eau pure
Une jeune fille m’enlace dans ses bras de cristal
Très doucement
Comme le manglier en fleurs dans la sève étroite de la route
Une couleur dans un parterre d’alcôve
Très doucement
Vont les berges au dôme d’émeraude
Au toit d’agate parfumée
Une jeune fille m’enlace dans ses bras de cristal qu’elle a serré contre mon corps
A la sortie d’une rivière d’eau pure
Où naviguent les grands beffrois à blason d’aube sous les feuilles
Très doucement
Je vois au ciel des milliards de fleurs dansant
Dans un alcôve
Aux bras de cristal d’eau pure du fleuve

Écrit par : Fleur d'aurore | samedi, 01 mars 2008

un printemps d'un petit prince amoureux...le premier...toujours...

Écrit par : aude | samedi, 01 mars 2008

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