incarnation
dimanche, 22 novembre 2009
en pire perte
la résurgence se cabre
mille et un rêve
toujours même
aux bals cons des météores
l'effluve s'entête
et son sillage
trop plein de corolles
noue les cœurs choux-fleurs
en déperditions torrides
la carnation fluctue
sans jamais influer
sur le ton essentiel
la tessiture immuable
de l'éblouissement
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en pire perte
la résurgence se cabre
mille et un rêve
toujours mêmes
aux bals cons des météores
l'effluve attractive entête
le sillage de tes pétales
le trop plein de tes corolles
aux nectars de ces fleurs choux
renouant des perditions torrides
la carnation fluctue
sous une influence pressentielle
La tessiture de ton ton
Qui résume à l'immuable
Celle de ton éblouissement.
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