Tu es venu, je dormais encore, j’ai senti ta présence et ouvert les yeux. Tu as dit, « est-ce que tu m’aimes ? » J’ai répondu, « je t’aime ». Tu as dit, « est ce que tu m’aimes plus que les autres ? » J’ai répondu, « je suis là ». Tu as dit, « est-ce que tu m’aimes le plus au monde ? » J’ai répondu, « je suis Amour ».
23 commentaires
J'ai vu un ciel presque identique à celui-ci un soir,
"je suis amour" j'ai toujours eu du mal avec ce message à cause des promesses venu du ciel qui ne se sont jamais réalisées...
Aude vous avez l'air heureuse.
Le ciel de l'aube dans l'avion pour Cincinnati, lors d'un virage...laparhasard...
Vous avez raison c'est une réponse "ambigue" qui ne doit pas le rassurer vraiment, mais je ne peux pas lui mentir. Et oui, laparhasard je suis proche du point d'équilibre, il suffit juste que le cadre professionnel se stabilise...
Ce ciel me fait penser au vent et surtout au refrain d'un morceau de noir désir
"tout disparetera, le vent l'emportera..."
J'aime bien cette chanson de Noir Desir, le rat vit, mais l'Amour qui est en chacun ne s'emporte pas...
Il s'emporte Aude, mais comme la vague recommencée .
Il se contemple chere "."...
Je ne comprends pas .
il n'y a pas à comprendre, il y a à voir.
Tant mieux chere "." car l'Amour ne se comprend pas, il se connait. Il ne s'emporte pas car on ne le possede pas, il est tout et partout, et rien aussi. Alors on le contemple.
Niché là, au centre de l’anéantissement créateur luit l’Amour. Une petite poignée d’êtres lumineux le contemplent dans l’ombre de milliards d’individus qui s’agitent en tous sens pour l'attraper mais lui tournent le dos.
Je contemple son emportement , comme je contemple l'emportement des hautes vagues dans la tempête.
Voir c'est comprendre gmc .
Pour pouvoir le voir, chere ".", il faut accepter que sa comprehension nous aveugle...L'emportement n'est que vaine agitation...
L'Amour est la platitude infinie de la mer a l'aube, quand nulle vaguelette ne peut troubler son miroir ethere et qu'elle ne fait qu'un avec l'azur du ciel.
Je n'ai pas de préférence . J'aime le contempler par tous les temps, maintenant qu'il m'a crevé les yeux .
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voir l'incompréhensible peut-il être compris?
Je vois = je comprends...l'inexplicable .
Chere ".", l'Amour ne s'aprehende pas intellectuellement. Toute tentative de comprehension ne reflete que le desir de possession. Toute impression de maitrise ne peut etre qu'illusoire et inhibe le potentiel de contemplation. C'est cela lacher prise, etre la partenaire de la valse, c'est accepter de ne pas comprendre...accepter de juste contempler en spectateur impuissant et beat.
Comprendre= contenir en soi , saisir par l' ESPRIT, Aude . Pas intellectualiser !
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l'esprit ne peut rien saisir; l'élémént de com-préhension, c'est le mental. et, en termes psychiques, il est juste de dire que comprendre signifie posséder ou avoir pour la pensée conditionnée.
d'autre part, il est illusoire de croire qu'un moi quelconque puisse contenir. moi n'est qu'une image mentale, rien de plus.
En disant cela tu intellectualises gmc ... L'aigle ne saisit pas sa proie pour la posséder mais parce qu'il est dans sa nature de saisir . Ainsi l'esprit .
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si esprit il y a, il est déjà tout...qu'aurait-il donc besoin de vouloir posséder ce qu'il est déjà?
gmc répond ce qu'il faut te répondre, l'intellectualisation initiale n'est pas de son fait... tes commentaires offrent systématiquement le même profil.
à l'abri sur ton île fortifiée par l'intellect, aucun danger. ouvre donc un blog et affronte les mille yeux du bouddha......pour être crédible dans ton postulat.
"commence par ta propre personne"
L'Amour se trouve dans le coeur, chere ".", pas dans l'esprit...
Et bien je vous salue mes amis ... Vous répondre serait faire descendre l'esprit dans les basses pressions de l'intellect , et le ciel est si bleu ...
Alors bon vol, chere "." :-)
SANS PRESSION
Au-delà de l'azur si vert
N'est nulle couleur auxiliaire
L'aigle n'est qu'un chameau sans bosse
Pour lui pas besoin de carrosse
L'outrage ici est permanent
Il transpire dans chaque instant
Aucune tenue de gala
Ni cotillons ni apparat
Les éclairs en sont les semailles
Splendeurs du reflet d'un vitrail
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