Délivrance
mercredi, 08 juin 2011
Viennent encore des fractions de solitude
Fractures du tissus de l'instant
Rouées d'incurable
Qui rabougrissent l'âme
Viennent encore les aigus de l'injustice
Les violences chroniques
L'impitoyable tristesse
Qui nous échouent en marge de la vie
Mais puis-je déjouer
Pouvez-vous endiguer
L'ouverture des connivences
Où la lumière nous submerge?
Livrés l'un à l'autre
Compagnons de naufrage
En instance de partage
Nous conjurons nos origines
5 commentaires
L'amour
A l'heure où tout perdure un peu
Se distrait, se couche et se tue
Je voudrais n'être qu'une ombre
Dispersée au glas, déjà vue
A l'heure où tout se perd de plus
Se destroy, s'élève et se rue
Je voudrais être une lumière
Sondée aux gras des jarrets
Je voudrais vous couvrir de salpêtre
Je voudrais vous maudire, vous, pâles zestes
Mais je ne puis qu'applaudir graveleusement
Vous saluer et vous embrasser tendrement
Bonjour...Regardez votre messagerie aude66 s'il vous plait.
Coucou aude,
cela fait longtemps mais il fallut que mon ordi tombe en panne pour que je retrouve le chemin de ton blog.
Tes mots sont toujours des notes de musiques sur la partition de notre esprit.
Je le mets de cote... je vois que toi aussi tu as eu un passage à vide... de poésie.
A bientôt
Bises de Phil
Vu Cribas, j'attends votre feu vert :)
Bonjour Phil, un plaisir de te retrouver aussi, à très vite :)
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