imagine
mardi, 16 novembre 2010
imagine un lit d’encre et de papier
parfumé d’ambre et de larmes
où tu viens reposer tes déchirures
imagine la noirceur complice
la colère acidulée presque sucrée
où ta tête s’endort entre mes seins
imagine la distance franchie
l’instant bleu
où l’inévitable s’accomplit
1 commentaire
Hum! J'imagine très bien !
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