fourmillement
vendredi, 23 mai 2008
un éclair au seuil des reins
trait de douceur infinie
combustion consensuelle
sur les rivages ravagés
le pas de la statue
saisie à l’ombre du piédestal
silhouette affranchie
cinglante de lumière
séquence interminable
renouvellement endémique
comme des volutes de carmin
étreignant l’azur au zénith
apnée intime
subjuguée de facettes
dans les abysses de luxuriance
où fourmille l’amour
2 commentaires
Plaisir sans faille
tes mots sont toujours aussi 'sublimes' !
ensorcellement [...]
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