confettis
dimanche, 24 juin 2007
Le silence gravit les longs degrés d'hébétude. Les chairs incandescentes pullulent d'abandon. La pulsation translude l'axe vertébral de l'échine aux altitudes cérébrales, sourcellerie éphémère aux effets redondant de permanence. Les perspectives fondent sous le prisme intérieur se réfractant en parures de confettis d'univers, vifs de passion pacifiée. Dans la saturation statique d'entre-sois, le sourire se stabilise, la poussière ardente agonise. Être. Rien. Tout. Aimer.
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