abri
dimanche, 17 juin 2007
A l'abri du grand arbre, l'ambre miroite sous la caresse du vent. La brise langoureuse éveille les sens, souffle rauque d'un amant de passage. La clameur de la foule se fait doux murmure, choeur d'innocence palpitant à vif sous la canicule. Tout au bout de l'âme, là où le mal rejoint le bien, là où les pistes se confondent, là où la dernière possibilité, aussi invraisemblable puisse-t-elle paraître, devient réalité, là où l'absence embrasse la présence, là où l'arc-en-ciel redistille le parfum des orchidées, là où les étoiles fusionnent avec l'amour pour recomposer l'univers, juste là, être infini.
6 commentaires
et ça rit comme un beau diable !
et souvent ça provoque comme des crises de foi !
douceurs ensoirées ....
Merci pour les rires et douceurs ensoirées, Céphée :-)
pourquoi les commentaires s'envolent ! .....
hummm...joli vol de commentaires pour un premier soir d'été!
bonjour bonsoir Aude,
je suis très étonnée de m'apercevoir que mes commentaires se volatilisent ...
sourire
impossible de les relire
douce soirée
Je ne sais Céphée...Si vous le souhaitez, vous pouvez me les transmettre par email: aude66@gmail.com et je m'assurerai qu'ils restent!!! Merci de votre fidélité :-)
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