déliraude #36
samedi, 10 mars 2007
Couchés sur le fond du ruisseau de jade
Enlacés au trépas de foudre fade
Les sanglots brulants de la Fender
Respirent les éclats d'air
L'instant délivre de tous les chagrins
Les dépressurise de chaque grain
Sérénade pour rebonds rebondis
Des lambeaux rapiècés plus forts de vie
L'incendie ne sait plus se rassasier
Par l'essence des larmes attisé
4 commentaires
Je crois qu'au milieu des vers
j'ai entendu la fender dont tu évoques la plainte
Merci le bateleur, je crois que c'est elle qui les a écrit ;-)
Bah, ça écrit une Télé ?
J'aime bien ce texte
à très vite ?
Dans la mesure où "je" n'est pas le géniteur, tout est envisageable Pessah ;-) à très vite ? qui sait ?
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