repos
mercredi, 21 février 2007
A l’orée du silence arrêté
Montent les bulles d’âme irradiée
Parfum des affres égaréesAria de pouvoir abrogé
Le regard des autres n’est plus
L’Amour prie la source connue
Versant généreuse incomprise
En crue de tendresse sans emprise
L’océan s’ouvre les artères
Pour fertiliser le désert
La vie fait un clin d’œil au destin
Nous nous reposons d’être, mutins
4 commentaires
;-)
Bonsoir Madi, merci de ton passage :-)
Doux repos :)
Très, très doux pyrome ;-)
Les commentaires sont fermés.