sans trace
vendredi, 05 janvier 2007
Quand le vent finit d'emporter les traces
Cendres d'éclats de voix de lune ambrée
Alors que les chagrins fictifs s'effacent
Que l'univers de chimères a sombré
Les esprits des évaporés s'enlacent
Dans un lit de velours de soie sabrée
Les ego soumis fusionnent et trépassent
Confondus dans une vague marbrée
Les commentaires sont fermés.