Arpèges
mardi, 19 décembre 2006
Les doigts volent sur la harpe du sommeil
Quand les mélodies des songes appareillent
Prendre le large sans contrainte
Dénouer les attaches de l’étreinte
Ne plus croire au pouvoir faux
Sensé endiguer le flot
Le raz de marée
De soie moirée
Qui infiltre et glisse
Dans les interstices
La femme de chambre de l’Amour
Ne saurait arrêter l’eau qui court
2 commentaires
Femme de chambre de l'amour et eau qui court...en même temps ;-)
Avec des bulles en plus, le mendiant ;-)
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