Sacré Beckett
vendredi, 08 décembre 2006
C’est de la faute de Beckett
A jouer à ne pas parler
La voix n’est plus de la fête
Elle mue dans un soupir ailé
Reflétant sa chanson muette
Rêve de silence étalé
Enchantement silhouette
Luminion intime affalé
4 commentaires
Comme le temps passe vite
Et pourtant sans durer, chère lapahasard :-)
Musique en coin :) ))
Musique consolatrice, pyrome :-)
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