La sécheresse innonde le visage. Le parchemin se rétracte cornant chaque commissure, tirant chaque ride en craquelure, gravant chaque soupir à même le masque. À l'abri de la nuit, le chantier de déshydratation bât son vide dans un festival d'évaporation qui prétrifie en prévision de la putréfaction. Dans la lute pour un soupçon de moiteur, la larme elle-même se raréfie et le sommeil brûlé s’érode au souffle du temps.

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