Archives > 2011-03
il ne reste guère que les écueils fulgurance gravée aux iris il ne reste guère que le recueillement apnée intérieure s'il n'était vous l'effacement serait total mais vous êtes et la palpitation s'entête comme une turpitude mais vous âtre et le feu saumâtre comme une mâlitude ô résilience absurde persistence que la vie ne fuie cette odieuse existence
Lire la suite
vous savez tout ce que je suis jusqu' aux soupçons de la féminité jusqu' aux lâchetés de la solitude vous savez tout de l'intimité, de la folie de la tristesse qui attache, rattache comme un pacte silencieux vous savez tout du temps qui incarcère draine la fraîcheur des élans au fond des étangs d'argent vous savez le dégoût vous savez la lassitude le rêve éploré les lunes déchirées vous...
Lire la suite
Plus de notes disponibles.
Chargement...